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maxoldedaalhuis
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  • French 134 ( recorded by fransheideloo ), standard

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    La Terre Adélie est une bande étroite de l'Antarctique, située entre environ 67° de latitude sud et le pôle Sud, et 136° et 142° de longitude est. La Terre Adélie couvre une superficie d'environ 432 000 km2. Elle est réclamée par la France comme un des cinq districts des terres australes et antarctiques françaises, bien que cette réclamation ne soit pas universellement reconnue. Elle abrite la base scientifique française Dumont-d'Urville, sur l'île des Pétrels.
    Le district de Terre Adélie est situé sur le continent antarctique et forme un secteur de 6 degrés angulaires d'inlandsis (432 000 km2), compris entre les méridiens 136 et 142 Est. Il a pour sommet le pôle sud géographique et pour base un peu plus de 270 kilomètres de côtes baignées par la mer Dumont d'Urville, sur le cercle polaire.
    Le pôle sud magnétique, dont la position varie avec le temps, se promène de nos jours au large du cercle polaire, en face de la Terre Adélie.

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  • French 126 ( recorded by fransheideloo ), standard

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    Le ronronnement est une vocalisation émise par certains félins et viverridés. Produit à l’expiration comme à l’inspiration, ce son de basse fréquence apparaît dès l’âge de deux jours. Le mécanisme du ronronnement est encore mal expliqué. La théorie dominante est que le son est produit par des contractions des muscles du larynx déclenchées par une oscillation neurale et faisant vibrer les cordes vocales. La possibilité pour un félin de ronronner ou non est également un point débattu, notamment pour les grands félins de la sous-famille des panthérinés.
    Le chat domestique peut ronronner tant dans une situation de plaisir que de souffrance, c’est pourquoi la signification de cette vocalisation de contact est peu évidente. Fréquent chez le chat domestique, le ronronnement est essentiellement limité aux relations mère-progéniture dans la nature. Comparé au sourire par certains auteurs, son rôle social, tant avec des congénères qu’avec l’Homme, est primordial. Une théorie assure au ronronnement un rôle curatif : les basses fréquences émises permettraient de renforcer les os, les muscles, les tendons et auraient même un rôle anti-douleur.
    En français, les termes associés au mot « ronronnement » sont tirés de l’onomatopée « ronron » utilisée dès le XIXe siècle. L’utilisation du mot, comme du son, reste anecdotique dans la littérature, la publicité ou le cinéma
    Description
    Le ronronnement est un son continu de basse amplitude, produit pendant toutes les phases de la respiration excepté lors d’une courte pause de quelques dizaines à une centaine de millisecondes1, entre les deux phases de respiration2. Le ronronnement est considéré comme plus fort et rauque à l’inspiration3, cependant selon une étude publiée en 2010, le ronronnement du chat est de même amplitude durant les deux phases de la respiration, et celui du guépard est plus fort à l’expiration1. Le son est produit avec la bouche fermée, il dure le plus souvent plus de deux secondes, à une fréquence de 25 à 20 Hz2, la fréquence fondamentale est d’une vingtaine d’hertz1. Le ronronnement du chat domestique peut être entendu à trois mètres à la ronde3, celui d’un guépard jusqu’à 40 mètres ; le son est plus fort au niveau du museau1.
    Le mécanisme phonatoire est tout à la fois ingressif (produit à l’inspiration) et égressif (produit à l’expiration). La phonation ingressive est connue depuis Charles Darwin pour être utilisée par de nombreux autres animaux, comme le chien ou le renard. Chez l’homme, la phonation ingressive est utilisée notamment dans les langues germaniques. Selon une étude publiée en 2010 comparant le ronronnement du guépard et celui du chat, la phase égressive est chez la première espèce plus longue et contient plus de cycles, tandis que chez le chat, il n’y a pas ou peu de différences entre les phases. Comparativement, le guépard produit un plus grand nombre de cycles que le chat pour les deux phases et la fréquence fondamentale reste quasiment identique.
    Le ronronnement apparaît dès l’âge de deux jours lors de la tétée, où la mère et ses petits communiquent par ronronnement ; ce phénomène apparaît aussi lors de la toilette des chatons par la mère. Le ronronnement est le premier cri poussé par le chaton avec les pleurs, c’est également par le ronronnement que la mère répond à ses petits. Dans la nature, le ronronnement est le plus fréquent durant les relations entre la mère et ses petits alors qu’il peut survenir au contact de l’homme ou d’un objet chez le chat domestique. Le chat ne ronronne jamais lorsqu’il dort, mais peut en revanche miauler.
    Mécanisme du ronronnement
    Les félins ne possèdent pas d’organes dédiés particulièrement au ronronnement. L’hypothèse la plus courante est que le ronronnement est provoqué par une contraction très rapide des muscles du larynx ce qui comprimerait et dilaterait la glotte et causerait une séparation brutale des cordes vocales, origine du bruit. Cette hypothèse est basée sur l’électromyogramme des muscles du larynx du chat domestique qui montre un patron très régulier et stéréotypé composé d’un pic se produisant 20 à 30 fois par seconde, qui induisent une mise en tension régulière de la glotte. Les variations laryngiennes sont induites par une oscillation neurale qui crée un cycle toutes les 30 à 40 millisecondes ; elle ne peut être stoppée, ce qui suggère qu’il existe un mécanisme oscillatoire de haute fréquence à l’intérieur même du système nerveux central. La partie du cerveau provoquant ces oscillations est proche de l’hypothalamus.
    Selon une étude de 1972, la tension du diaphragme durant l’inspiration est également hachée et les pics de l’électromyogramme entre la glotte et le diaphragme sont désynchronisés. Cette activation alternée permet de limiter une fluctuation négative de la pression trachéale et promeut le flux d’air à l’inspiration lors de la période où la glotte offre une résistance minimale. Une nouvelle étude menée en 1987 à partir d’électromyogramme montre que les muscles expiratoires peuvent également être impliqués dans le mécanisme du ronronnement. En 2000, Dennis C. Turner et Patrick Bateson considèrent que le diaphragme et les autres muscles ne sont pas nécessaires au ronronnement, excepté pour induire la respiration11. Un élément pouvant infirmer l’hypothèse de la contraction des muscles du larynx est que des chats ayant subi une laryngectomie peuvent ronronner en utilisant leur diaphragme.
    D’autres hypothèses ont évoqué une vibration de la veine cave, amplifiée par les bronches, la trachée et les cavités nasales, ou encore la vibration de fausses cordes vocales ou du voile du palais.
    Les carnivores qui ronronnent
    Les félins « rugissants » pourraient être incapables de ronronner.
    Les viverridés sont capables de ronronner d’une manière similaire aux félins.
    La question du ronronnement des félins fait toujours débat : de nombreuses espèces, même les plus connues comme le lion ou le léopard, restent mystérieuses quant à la possibilité qu’elles ronronnent. Pour de nombreuses espèces, il n’existe pas d’informations sur le sujet ou celles-ci sont insuffisantes. Les félins de la sous-famille Pantherinae — lion, tigre, léopard, jaguar, panthère des neiges — possèdent un ligament de l’os hyoïde partiellement ou non ossifié, ce qui leur permettrait de rugir mais pas de ronronner. Cette différenciation a cependant été remise en cause dans les années 1990, la structure vocale des panthérinés pouvant peut-être permettre le ronronnement, bien qu’il soit difficile à produire. Paul Heiney avance que les grands félins ne peuvent ronronner qu’à l’expiration.
    La capacité de rugir grâce à un os hyoïde peu ou pas ossifié est l’hypothèse historique ayant permis de classer les différentes espèces de félins par Owen puis Pocock en 1916 : il existait les félins « rugissants » (donc non-ronronnant) de la sous-famille des panthérinés et les « non-rugissants » (donc ronronnant) de la sous-famille des félinés1. Pour Gustav Peters, le ronronnement doit être assimilé à une caractéristique de l’ancêtre commun aux félins et les vocalisations similaires observées chez certains mammifères (par exemple, le raton laveur ou le lapin) comme des cas de convergence évolutive.
    Certains Viverridae ronronnent comme Genetta tigrina et Genetta genetta1.

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