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« NBA is just a business » et les perdants d’hier seront les gagnants de demain. Et vice versa. Souvenons-nous de Dan Gilbert, humilié par LeBron James en 2010, et qui l’a accueilli à bras ouverts quatre ans plus tard…
La NBA est un business plus florissant que jamais avec un chiffre d’affaires qui dépasse les quatre milliards. Le plus souvent, ce sont les patrons qui gagnent, même quand ils distribuent des dizaines de millions à leurs joueurs. Le plus souvent, ce sont les agents qui font plier les patrons, et influencent leurs joueurs dans leur choix de carrière. Et puis, à de rares exceptions, ce sont les joueurs qui décident de leur avenir, sans en faire une question d’argent. Ce fut le cas récemment de David West, qui a tourné le dos à 12 millions de dollars pour s’engager avec les Spurs pour 1.5 million. La quête d’un titre était plus forte que l’attrait de l’argent.
Il y a aussi aujourd’hui Jordan qui préfère se fâcher avec son agent et quelques amis, et donner raison à sa famille qui ne voulait pas quitter Los Angeles. Sur la forme, c’est critiquable. Sur le fond, qui peut lui en vouloir ?