Sa publication a commencé un long débat entre classicistes et écrivains romantiques, dans un moment où la littérature allemande et anglaise a été animée par un profond renouvellement. La littérature italienne, toutefois, est retranché dans des positions de la ferme adhésion aux idéaux de néoclassicisme.
Madame de Staël reconnaît la grandeur des classiques de la Renaissance, mais leur valoirs, qu'ils sont écrits en latin, sont tournés vers un public très limité, et avec une langue artificielle, "morts, et vieux". Il note que Fracastoro, Politien, Sannazzaro ont été des grands poètes, au pair de Virgile et Horace, mais ils sont presque oubliés.
Selon l'article, il est nécessaire pour les Italiens le traduire les œuvres d'auteurs britanniques et allemands, et de renoncer à la tradition de la construction classique et à la mythologie.