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alir8zana
Complete / 16972 Words
by tiiiigrou 0:00 - 0:01:25

J'ai eu la chance de naitre dans une famille aisée, avec un père médecin. Lui, de son côté, m'a beaucoup influencé, sur la médecine et sur les médecines naturelles, et me montrant l'importance du terrain. De l'autre côté, ma mère, ma mère a eu un double impact sur mon évolution professionnelle, c'est qu'elle m'a montré - c'était une femme qui avait un grand coeur, qui était beaucoup tourné vers les autres, et puis d'autre part, elle a eu une grave maladie; elle était atteinte du cancer.

Lorsque j'ai fini mes etudes de médecine, elle a commencé à faire une grave rechute de son cancer, plus de 18 ans après. Ca m'a fait poser plein de questions.

by abracadabal 0:01:25 - 4:11

Donc j'ai vu, je l'ai piloté à ce moment là, dans les CHU, dans les services que je connaissais bien, parce que j'étais étudiant en médecine à ce moment-là. Enfin, j'ai terminé mes stages à l'hôpital, et donc j'ai vu toute l'importance, tout le cœur que donnaient tous les médecins, les personnels soignants, les infirmières, les aides soignantes... Tout le monde faisait un travail remarquable que j'ai beaucoup apprécié. Et d'un autre côté, j'ai vu aussi les failles, et donc quand j'ai commencé à exercer, ben je me suis tout de suite penché vers les médecines naturelles. Alors déjà mon père m'en ayant déjà beaucoup parlé, de l'acupuncture, de l'homéopathie, j'ai commencé à l'étudier. J'ai rajouté tout de suite aussi la sophrologie, qui m'a passionné également. Moi j'étais toujours le fil d'Ariane certainement. Par l'intermédiaire de ma mère, c'était toujours le cancer et j'ai terminé par faire un diplôme universitaire de cancérologie clinique, parce que je me suis dit il faut vraiment aller jusqu'au bout.

Christian Tal Shaller: Il y a 45 ans, j'ai commencé une carrière de médecin généraliste tout à fait conventionnelle. Je faisais ce que font tous les généralistes. Je soignais les gens avec les méthodes que j'avais apprises à l'hôpital. Et j'ai eu un choc. C'est que je me suis rendu compte que la médecine que j'avais apprise à l'hôpital, c'est comment voir les gens malades et les soigner d'une manière qui les maintient dans la maladie. C'est un monde terrible. Et cette prise de conscience à fait que je me suis dit non, faire des diagnostiques avec la médecine que j'ai apprise c'est bien, mais peut-être que dans la thérapie il y a autre chose que la chimie. Et puis peu à peu, j'ai enrichi ma pratique par des méthodes que je n'avais pas appris à l'hôpital mais qui m'intéressaient sur le plan de ne pas voir que la chimie comme solution sur mon ordonnance, mais pouvoir faire de l'acupuncture, de l'homéopathie, de tenir compte des régimes alimentaires, enfin de m'ouvrir à d'autres techniques.

Luc Bodin: De tout temps, j'ai toujours rêvé de soigner uniquement avec mes mains. Et en fait j'ai rencontré plein de guérisseurs, de magnétiseurs, en France, de toutes sortes de feux (???). Tous ces gens-là m'ont appris moultes techniques, et ces techniques, pendant longtemps, je les connaissais mais je ne les pratiquais pas. Je ne me permettais pas de les pratiquer pour la bonne et simple raison que, bah, j'étais médecin, et que pour moi elles étaient complètement empiriques, même si pour moi elles étaient bonnes parce que le simple bon sens veut dire que si ces spécialités ont traversé des siècles et qu'elles ont toujours des patients qui viennent les voir, ça veut dire qu'elles ont des résultats, faut pas prendre les personnes pour des imbéciles. Donc ça veut dire que s'ils ont des résultats, ça vaut vraiment le coup de s'y pencher.

Didier Traullé: Moi, ce qui a été le déclencheur, c'est en 99. En 99 j'ai fait un accident vertébral. J'ai fait une hernie discale paralysante et j'ai perdu l'usage de la jambe gauche. Donc là on m'opère en urgence, l'opération bon, ça a bien marché et tout... Le problème c'est que j'ai mis 3 ans pour récupérer. Parce que une fois qu'ils ont fait l'opération, bon, c'est tout, notre boulot il est fait, maintenant débrouillez-vous. a vous de jouer. Alors j'ai galéré pendant 3 ans.

by abracadabal 4:11 - 5:04

Et c'est là que j'ai utilisé cette ressource que j'avais. Et j'ai réussi à remarcher puis à fonctionner. Et mon médecin qui a vu ça m'a dit bah non, tu l'utilise pas pour soigner les personnes, tu essaies et puis tu vas voir. Alors j'ai fait quelques essais, et c'est vrai que c'était concluant. Et de là, bah j'ai commencé.
On a commencé surtout par des douleurs pour des gens qui ont des problèmes de dos. Ca marche bien. On laisse faire et puis ça marche tout seul. Bon alors j'ai cherché à comprendre et je me suis rendu compte que, euh, les gens sur qui je travaillais c'est des gens qui étaient énormément stressés. Donc j'ai découvert, au fil du temps, que c'est le stress, l'excès de stress, les chocs émotionnels, décès, séparation, divorce... des gros chocs émotionnels qui créent des blocages.

by abracadabal 5:04 - 6:06

Alors la tête génère le blocage, et ça fait un peu comme si on fermait des portes. Donc les portes fermées, ça empêche de circuler au niveau énergétique et ça crée le problème. Alors en fonction de sa faiblesse, bah ça va générer telle ou telle chose. Moi le bobo ne m'intéresse pas, moi ce que je recherche c'est là où ça a généré le problème. Et quand on remonte à ça, pfff vous arrivez à faire tout partir en même temps sur très peu de temps.

Christian Tal Shaller: La clé, c'est de comprendre que notre corps est d'une intelligence absolument incroyable. Notre corps est des millions de fois plus intelligent que tous les médecins du monde. Donc si le corps fait une maladie, c'est pas pour nous casser les pieds, c'est parce que ça a un sens.

Luc Bodin: La maladie correspond souvent à une réaction saine de notre organisme face à une situation qui nous est déséquilibrée. Comme le disait le docteur Bach, celui qui a organisé les petites fleurs de Bach, il disait on tombe malade quand nos actions dans le domaine de la vie quotidienne ne sont pas en adéquation avec nos aspirations, avec nos pensées profondes.

by abracadabal 6:06 - 7:10

Et ça il avait raison, parce que tout simplement nous, c'est pareil (???), c'est qu'on est toujours en train de faire des conciliations, on est en train de faire des compromis avec la vie, avec tout ça, et tous ces compromis ne font que nous éloigner. Et de temps en temps, bah il y a un petit choc émotionnel qui arrive mais on le met de côté, on l'oublie. Et puis dans un deuxième temps, comme on a rien résolu du tout, ce choc émotionnel, ce conflit, va revenir d'une manière peut-être un petit peu plus forte, jusqu'à la dernière touche: déclencher vraiment une maladie, comme si notre conscience ou notre être intérieur n'avait plus que cette ultime solution pour nous faire prendre conscience, justement, qu'on n'est pas sur notre voie et qu'il était temps de changer.

Elan Sarro: J'ai fait plusieurs années dans la banque avec tout un cursus académique, une autre école de gestion en Suisse. J'étais vraiment très stressé par mon travail. Et puis j'avais aussi un rapport au monde qui était assez compliqué: je me mettais beaucoup de pression, je voulais toujours être le meilleur, être très compétitif. Et du coup ça a généré un stress qui est devenu permanent.

by abracadabal 7:10 - 8:10

un stress chronique, jusqu'au burn out. Et le stress, et bien c'est la crise passion, c'est du catabolisme, ça crée de l'acidité, ça crée des déchets. Et puis le corps est tout le temps en lutte pour éliminer et à un moment donné il sature, quoi. Comme on est mal dans son corps, on est mal dans sa tête, on est en dépression, euh, c'est vraiment un, ouais, une sorte de... d'épuisement total, quoi. Et là, j'ai euh... je me suis ouvert à des techniques de bien-être. D'abord la sophrologie, la relaxation, et puis de fil en aiguille je suis arrivé à la méditation et puis là j'ai trouvé vraiment, une passion quoi, quelque chose qui me permettait de me ressourcer, de me reconnecter à moi-même, et puis d'apprendre aussi à mieux me connaître, d'observer tous ces mécanismes euh... ce l'égo euh... ce rôle que je voulais tout le temps tenir face au monde, face aux autres, pour paraître, et qui me mettait beaucoup de pression sur les épaules.

Luc Bodin: Pour comprendre la maladie, il faut déjà regarder ses causes. Nous sommes tous encrassés. Nous sommes tous pollués.

by abracadabal 8:10 - 9:15

Nous sommes tous en excès d'acide dans notre organisme, on a plein de polluants, on a des pesticides. Tout ça on le sait, il y a des preuves, il y a des études, des prises de sang qui nous l'ont tous montré. Mais bonant malant, on arrive à vivre, on survit, l'organisme s'en débrouille, etc. Et arrive un beau jour, un choc émotionnel, qui lui va apporter une émotion. Cette émotion vibre à une certaine fréquence qui va venir se localiser sur un organe, qui justement vibre sur cette fréquence. Il va venir bloquer la circulation énergétique dans cet organe si bien que tous les polluants du corps vont se concentrer et vont commencer à déclencher la maladie. Donc la médecine conventionnelle a raison. Bien sûr c'est les polluants, c'est les acides, c'est l'hérédité, c'est sûr. par contre, le choc émotionnel, lui, n'est pas la cause, lui est le facteur déclenchant. C'est lui qui va faire que, qui va indiquer pourquoi la maladie se déclenche à ce moment-là, et pourquoi elle se déclenche sur tel organe. Et donc de toute façon, il y a des choses à comprendre dans la maladie. Et c'est pour ça aussi que ça me... que j'étais ennuyé en tant que médecin parce que les personnes venaient me voir pour les soigner sur le plan ample, mais la plupart n'arrivait pas à comprendre que la maladie essayait de leur demander quelque chose, de changer quelque chose.

by missgue 9:15 - 12:59

Lila R. : La plupart du temps les personnes ont une petite idée de ce qui a pu se dérouler ou de ce qui a pu faire venir la maladie. Ils ont une petite idée, dans leur discours des fois ils disent "ah oui, depuis que je suis en retraite, j'ai eu un cancer. Depuis que mon mari m'a quittée j'ai du mal à dormir et je ... Ils ont des petites pistes. L'être humain il va toujours se dire "c'est pas possible. C'est pas possible qu'un mot, une situation, qu'un comportement créé une grosse maladie. C'est pas possible."
Christian T.S : Notre société persuade les gens qu'ils sont des victimes et que la maladie leur tombe dessus par hasard comme une tuile qui tomberait d'un toit. et ben, c'est tout faux. Dans toutes les médecines anciennes, on dit "nous sommes responsables. C'est nous qui créons notre santé ou notre maladie." Si on vit d'une manière malsaine, par exemple si je mange n'importe quoi, si je garde la colère à l'intérieur, si j'ai aucune connexion avec la vie, que je suis dans la haine, dans la peur, dans le contrôle, et bien, à un moment donné, le fait de tellement mal vivre va faire que la maladie arrive. En fait, la maladie c'est un avertissement pour nous dire oh oh, comme une ampoule rouge qui s'allume sur un tableau de bord de la voiture. Ça veut dire qu'il y a quelque chose qui va pas. Donc, j'ai compris que la guérison ça n'a rien à voir avec le fait de faire ou pas des traitements. Les traitements ça soulage, ça peut faire du bien ou pas, mais la guérison c'est autre chose. C'est permettre au corps physique de se régénérer, parce qu'il sait le faire, mais que pour qu'il puisse le faire il faut avoir une démarche globale, holistique. C'est à dire qu'il va falloir s'occuper de son corps physique certes, mais ne pas croire que c'est la totalité du problème. Parce que même si vous mangez très sainement, vous faites des jeunes, des graines germées, des massages et du sport, si vous ne vous occupez pas du corps émotionnel, vous pouvez être malade non pas pour des raisons physiques mais pour des raisons d'émotions qui ne circulent pas. Et ce qu'on nous a appris à faire c'est "chut! tais-toi! Tu ne cris plus, tu ne ris plus, tu ne pleures plus. Tu deviens comme tes parents : sérieux." Et on entre dans le stress. On entre dans ce moule occidental que la vie c'est dur, il faut tout le temps se battre, c'est la compétition, etc. Et on a perdu l'usage de notre corps. Et regardez ce que ça donne, regardez ce nombre de personnes âgées qui sont de plus en plus lourds, qui avalent des pilules et qui ont une vie absolument catastrophique alors que nous n'avons pas été conçus par la nature pour devenir vieux et malades. Il y a aucune raison d'être vieux et malade. Si on est vieux et malade c'est parce qu'on a des habitudes qui nous poussent à ça.
Elan S. : C'est vrai qu'on vit dans une société où il y a beaucoup de stimuli négatifs, de stimuli dysharmonieux, la pollution, les ondes électromagnétiques. Si l'être humain vivait en harmonie avec un environnement naturel, il serait moins exposé à ces sources de pollution. Mais après, effectivement, il y a comment je me sens moi? Il y a des gens qui sont exposés aux même stimuli dysharmonieux et qui vivent bien. Pourquoi? Parce qu'ils ont un autre rapport à eux-mêmes et un autre rapport à la vie. Après il y a beaucoup de facteurs dans la maladie aussi : le terrain génétique, il y a la psyché mais ce qu'on a pu constater c'est que les gens qui tombent malades, souvent, et bien c'est des gens bileux, c'est des gens anxieux, c'est des gens qui sont facilement submergés par le stress, c'est des gens qui ruminent beaucoup.
Luc B. : Le mental, c'est la voix qui nous parasite, c'est la voix qui va vous dire " oui mais attention, ce soir, tu vas repartir chez toi, donc n'oublie pas de faire le plein d'essence. Et puis, hier, pourquoi t'as dit ça à untel, t'aurais pas dû lui dire, t'aurais dû lui dire plutôt ceci et puis, et puis le week-end prochain tu vas à tel endroit et puis t'oublieras pas parce qu'il faudra que tu ..." il est sans arrêt en train de vous jacasser dans la tête des tas de choses et puis ça c'est pas penser, ça c'est pas réfléchir. Au contraire ça vient vous embêter, vous empêcher de réfléchir. Et quand on arrête son mental, en fin de compte c'est ce qui est extraordinaire, c'est qu'en arrêtant le mental et bien d'un seul coup les choses essentielles ressortent et donc notre esprit devient beaucoup plus clair. On ne veut pas la mort de l'égo, l'égo est utile, on ne veut pas la mort du mental mais on lui demande simplement de laisser un petit peu la place aux autres.

by missgue 12:59 - 17:42

Et comment on peut arriver à calmer le mental? La première chose pour calmer le mental c'est d'être ici, maintenant, dans le présent. Une petite méditation permet de faire une prise de décision parce que là on voit vraiment les points importants et les choses deviennent très très claires.

Pour moi la méditation, c'est être attentif, être pleinement présent. Et du moment où on est focalisé sur l'instant présent et bien on est moins dans le mental, on est moins pris par nos pensées négatives. Et du coup, ça calme de par le fait que on va s'ouvrir à un plus grand afflux de lumière, ce que j'appelle le souffle vital aussi, en Inde ils appellent ça le prana. C'est cette quintessence subtile qu'on capte par la respiration et qui est la véritable force de réharmonisation, la force de guérison dont le corps a besoin pour être en équilibre, en pleine santé. Quand on médite et quand on est dans cet état de réceptivité et d'écoute attentive de ce qui est, il y a cette paix qui s'installe et de par cette paix, et bien, le souffle peut bien nous pénétrer, peut mieux rentrer dans le corps et rétablir l'harmonie. Alors automatiquement on va se sentir bien dans sa peau, bien dans sa tête, bien dans son corps. Ça nous donne une force, ça nous donne un souffle. Les expressions sont parlantes à ce niveau-là. Quand on dit "je suis à bout de souffle", "j'ai les nerfs à vif", "je suis à côté de mes pompes", "je suis hors de moi", c'est qu'on est pas bien, on manque de souffle justement, on manque d'énergie, on est en déséquilibre. La méditation nous recentre, nous rassemble en nous-même. Et je pense que chacun devrait pratiquer la méditation. Et si on aime pas le mot parce qu'il est trop connoté religieux, bouddhisme et qu'on est pas versé dans la religion, alors simplement ressentir.

Ce qui est passionnant aujourd'hui avec la physique moderne, notamment la physique quantique, c'est qu'on a été obligés, si vous voulez, de voir que la matière, les émotions, les pensées et quelque chose d'autre fonctionnent ensemble. J'ai découvert justement qu'il y avait des tas d'autres médecines qui, depuis des millénaires, ont une vision différente que la vision matérialiste. La vision matérialiste c'est qu'il y a le corps physique, c'est tout ce qui existe, on soigne le corps physique et le reste on en entend pas parler. J'ai découvert ce qu'on appelle aujourd'hui la médecine holistique. Cette médecine holistique c'est de comprendre que l'être humain n'est pas qu'un corps physique, il est un tout beaucoup plus grand. Nous avons un corps physique certes; mais ce n'est pas la totalité de ce que nous sommes. Il y a d'autres réalités que la matière.

Toute la matière dans l'univers n'est formée que d'énergie. Toute matière, tous les corpuscules, toutes les particules ne sont que des énormes concentrations d'énergie. Nous sommes de l'énergie à l'état pur avant même d'être physiques ou chimiques. Donc c'est pour ça aussi que j'ai commencé à comprendre que en travaillant sur l'énergie on pouvait travailler sur le corps. Nous sommes formés d'un corps physique et de corps subtils qui sont là encore à la fois dans notre corps physique et qui débordent de notre corps physique. Et ces différents corps font partie de nous. Il y a eu les premières photos Kirlian. Les photos Kirlian qui remontent déjà à plus d'un siècle et qui photographiait les premières couches de l'aura qui sont autour de notre corps. Il faut bien comprendre qu'on ne voit pas les corps énergétiques parce que tout simplement tous nos cinq sens sont situés dans le corps physique donc ils sont sur le niveau vibratoire du corps physique. Or les autres niveaux énergétiques sont situés sur d'autres plans et si on veut commencer à les ressentir, il va falloir justement utiliser d'autres sens, justement le ressenti, l'intuition, la clairvoyance, etc. Donc ce sont des sens qui sont subtils et qui ne font pas partie de notre lot quotidien. On peut puiser déjà chez les indiens, parce qu'on médecine ayurvédique on retrouve la description de tous les corps et ils sont décrits d'un manière remarquable mais ce qu'il faut bien comprendre c'est qu'il n'y a pas que les indiens, il y a aussi les américains, les russes. Donc tous ces gens-là ont beaucoup beaucoup développé les corps énergétiques, la recherche des corps subtils, etc. Et j'en discutais souvent avec une amie américaine et elle était toujours éberluée en me disant "mais c'est pas croyable qu'en France on pose encore les questions de savoir si les corps énergétiques existent" alors qu'aux États Unis ou en Russie ce sont des choses qui sont des La Palissades, ce sont des évidences et ils sont pas en train de se poser la question est-ce que ça existe, ils sont en train plutôt de commencer à les, pas commencer, ils les utilisent d'une manière très pragmatique et très quotidienne.

by missgue 17:42 - 20:32

Lila R. : En fait la maladie, quand les personnes viennent me voir, ou elle est déjà en action, active dans le corps physique, ou elle est en cours d'installation. Moi, j'appelle ça d'installation. C'est à dire elle est dans des corps, elle est envoyée, on va dire elle est en attente et elle arrive petit à petit dans le corps physique. Voilà, c'est comme ça que je la vois. Mais les gens ne la ressentent pas puisqu'elle est dans le corps énergétique, à part si on ressent bien les choses. On se dit "j'ai des lourdeurs en ce moment, je me sens pas bien, je me sens fatigué, ça va pas trop" et on commence, on commence, si on fait par exemple des analyses médicales ou autres, on commence à voir qu'il y a des baisses quelque part, qu'il y a des... ça commence à rentrer dans le corps physique.

Yasmina : Avant qu'une maladie se manifeste sur notre corps physique elle est déjà présente dans nos autres corps en fait, qui sont éloignés. Voilà, et qu'on ne voit pas nous, qu'on ne perçoit pas, par contre que Lila peut percevoir en travaillant sur des choses qui arrivent sur nos corps les plus lointains, effectivement ça empêche la manifestation.

Les médecins matérialistes, ils s'occupent du corps physique, vous avez le foie malade... et le propre des guérisseurs, des magnétiseurs ou des chamans c'est que ils s'occupent de la totalité de l'être humain. Donc beaucoup des choses qu'ils font ne s'explique pas au niveau physique mais parce qu'en fait ils travaillent sur d'autres plans de conscience. Donc ils sont dans d'autres réalités.

Moi je fais une imposition de mains et je laisse travailler. On sent, ça chauffe, ça peut monter en température et à un moment donné je sens bon bah c'est bon, c'est... il y a une dose d'énergie qui est passée et le corps va se mettre à réagir. Il y a des gens, je leur pose les mains sur la tête ... ouf ... ils sentent ... ouah... ça passe, il y en a ça... jusqu'aux orteils, ils sentent ça circule. Il y en a qui sentent du froid, il y en a qui sentent du chaud, il y en a qui sentent des picotements, après c'est un peu chacun son truc. Il y en a qui sentent rien, mais ça passe. Moi je sens, quand je donne, je sens que ça part. Et moi les gens quand ils me disent je suis passé par le cercle médical, ils m'ont dit... parce que dans quatre-vingt-quinze pour cent des cas c'est comme ça, ils m'ont dit bah, "les médecins ils me disent qu'ils ne peuvent rien faire pour moi. Ils voient pas, ils voient pas ce qu'il y a. Y a rien, vos examens médicaux, il y a rien. Ils comprennent pas pourquoi ça..." quand on me dit ça pour moi c'est du pain bénit parce que je sais qu'à ce moment-là on est plutôt sur un blocage psychologique. Donc mon boulot ça va être d'aller rechercher, donc je vais faire un scannage du corps avec les mains, donc la on va travailler sur un point d'énergie, énergétique et on va rechercher là où ça bloque, il y a des blocages, on va re-balancer en énergie pour ouvrir, pour refaire circuler mais moi je ne travaille pas un problème, je travaille un corps. Toujours, moi j'ai trouvé qu'il fallait travailler le corps dans son intégralité ce qui permet de tout balayer. Donc on travaille le tout, de toute façon, tout ça il faut que ça fonctionne en énergie. Une fois que c'est rétabli le programme se remet en route.

by missbusson 20:32 - 22:41

Quand on examine une personne, au niveau énergétique, on va avoir deux sortes d'informations qui sont absolument intra... très très importantes. Les deux premières c'est qu'on voit.. on peut voir des blocages énergétiques. Des blocages énergétiques qui vont correspondre à des chocs émotionnels et on sait très bien que si on laisse ces chocs émotionnels, si on laisse ce blocage énergétique tôt ou tard ça va déclencher une maladie. On est train de déc.. de de vraiment faire de la médecine préventive un petit peu comme quand il y a aussi des blocages sur l'évacuation des énergies usagées, on sait tôt ou tard que ça va déclencher des troubles, des problèmes chez la personne, ça on le sait. Donc là c'est pour ça que la médecine énergétique tout comme le fait, mais d'une manière plus limitée, mais le fait l'acupuncture, c'est une très très bonne médecine énergétique. Et inversement on peut aussi voir des anomalies sur les corps énergétiques qui correspondent, qui nous indiquent que l'organe en dessous et déjà malade.
On peut jouer, on peut jouer sur le diabète, sur la tension, sur... quand ce sont des maladies qui sont déclenchées par... On revient toujours à cette histoire de stress. Quand c'est déclenché par des blocages, vous faites sauter les blocages, moi je dis aux gens "Vous êtes sous quoi? Vous avez quoi comme médocs?" "J'ai ça, ça, ça." "Bon, faites surveiller par le toubib, parce que comme je fais réagir votre corps, si c'est un problème de blocage qu'on régule ben si vous prenez des trucs pour le cœur alors que c'est plus nécessaire alors vous allez vous retrouver avec le cœur qui pop-pop-pop, c'est pas bon. Moi j'ai un pote qu'est cardiologue il m'a dit "Écoute, c'est pas compliqué, t'as 75% des problèmes cardiaques qui sont liés au stress, ils sont pas liés à un problème cardiaque mécanique. C'est lié à un état de stress. Tu régules l'état de stress, tu solutionnes le problème." Moi je guéris pas les gens. On dit guérisseur, non c'est faux, guérisseur c'est quelqu'un qui va déclencher la guérison. Je pratique... je pratique l'art de la guérison, c'est à dire un art, on peut pas dire une médecine, parce que pour pas avoir de problème, parce que la médecine c'est protégée. Donc c'est l'art de la guérison, c'est l'art de ... générer la guérison dans une... chez une personne. La déclencher. Et une fois qu'on l'a déclenchée, ça va s'auto... la personne va s'autogérer et va automatiquement se mettre en fonctionnement.

by marinepouet 22:41 - 25:01

Alors c'est la première fois que je venais voir une guérisseuse, une énergéticienne. J'avais été orientée vers Lila par une connaissance qui m'avait invitée à prendre rendez-vous avec elle parce que je lui avais expliqué que ça faisait des années que j'essayais de soigner une grosse grosse fatigue hum que je n'arrivais plus du tout à surmonter. J'avais déjà entendu que euh des magnétiseurs pouvaient soigner, guérir d'un certain nombre de maux. Elle m'a démontré par un certain nombre d'exercices la puissance et la force du magnétisme. Je me suis senti voler. C'était extraordinaire. Euh... Beaucoup plus légère, j'ai senti qu'un certain nombre, 'fin que le poids que je ressentais sur mes épaules aussi bien physiquement qu'émotionnellement euh voilà, s'était envolé.
En fait j'avais des gros problèmes de genou. Et j'étais allée voir plein de docteurs, de généralistes, de spécialistes du genou, des grands spécialistes, 4 ou 5 et leur réaction enfin c'était vraiment surprenant, c'étaient des trucs : "ben vous boitez, vous avez des béquilles, mais on sait pas trop ce que vous avez". Et du coup au bout d'un moment, ma mère elle m'a emmenée, elle m'a dit "Bah on va essayer quelque chose de différent, quelque chose que t'as jamais vu auparavant. On sait jamais, ça peut marcher." Et donc euh ma mère m'a emmenée voir Lila. A l'époque, je sentais vraiment rien du tout, ce qui est plus du tout le cas maintenant mais sortie de là, bon..; Tout de suite ça allait mieux, et mes genoux ben, dès après, j'ai plus du tout eu de béquilles. Je boitais encore un petit peu. Et dès la 2ème fois où je l'ai vue, je sentais plus rien du tout. Elle m'avait donné des traitements avec des plantes, des choses très naturelles, très légères, très faciles à prendre.
Si vraiment ils ont une grosse grosse maladie, là, oui ils viennent, mais vraiment en disant "Moi j'y crois pas, je suis là, je tente mon coup". Voilà ce qu'ils me disent. Alors moi après, peu importe, je suis pas avocate, hein, je vais pas... Je soigne et puis voilà. Et après, ben, c'est eux qui prêchent pour ma paroisse.
Je travaille aussi sur les fibromyalgies. C'est une maladie, ils sont encore en train de chercher comment ça marche, parce que, ils la connaissent pas. Je les soulage vraiment parce que c'est une grosse douleur, grosse fatigue. Et alors, vous avez plusieurs étages.

by Youn 25:01 - 28:15

et le plus gros étage c'est des gens qui sont grabataires et la fibromyalgie c'est pas une maladie, c'est un état de stress important. Tout s'est verrouillé et quand on arrive à trouver où ça bloque, qu'on libère, là c'est miraculeux. De grabataire vous passez à ..vous faites du footing. Une fois que vous avez débloqué le corps et ça se soigne très bien comme ça. Et si vous passez par le milieu médical, bah ils pataugent lamentablement parce que c'est pas avec des médocs qu'on arrive à soigner ça. Bon, par contre, si vous avez une infection dentaire et tout, qu'il y a besoin d'antibios, faut les prendre. Moi je vais jamais contre un traitement. Le gars qui a un traitement médical c'est pas mon domaine.Il voit son toubib, il se débrouille avec. Moi je travaille pas là dedans par contre je vais venir en complément.

Christian T.S.: L'important à voir c'est que dans le [...] holistique, on ne renonce pas au bon côté de la médecine moderne parce qu'elle sauve des vies c'est sûr quand vous êtes écrabouillé sur la route, cette médecine d'intervention extérieure a sa valeur. Mais le drame c'est que cette médecine n'aurait jamais du quitter les hôpitaux. L'antibiotique qui sauve la vie d'un grave malade, le donner à un enfant quand il a une angine, c'est de la folie totale voyez donc il faut avoir du bon sens et nous ce qu'on propose c'est une bonne utilisation de toutes les médecines. Si vous avez un cas gravissime ok, prenez la médecine chimique, chirurgicale, elle a sa valeur. Si c'est moins grave, prenez les méthodes naturelles: l'homéopathie, le régime et puis développer les moyens de santé pour que vous soyez de moins en moins dépendant d'une aide extérieure. Le but c'est de devenir l'artisan de sa guérison.

Elan S: En toute chose, il y a un bien et il y a un mal. Les médicaments peuvent être utiles. Par exemple, prenons une personne dépressive. Elle a vraiment la tête sous l'eau. Elle ne peut pas faire un travail psychologique, elle ne peut pas ressentir, elle est vraiment noyée dans sa tristesse, dans ce sentiment de vide. Peut être que l'anti-dépresseur va être utile pour lui sortir la tête de l'eau, pour qu'après elle puisse faire un travail à un autre niveau. Les médicaments ça peut être la même chose. Si j'ai une très forte douleur, je ne peux pas méditer. Je vais être dans un état de mal-être. Donc ça peut être intéressant à un moment donné de prendre un anti-inflammatoire. Mais ça, ça doit pas étouffer le symptôme et nous empêcher d'aller voir où il y a la cause.

Yasmina: Ah bah les médicaments, à partir du moment où j'ai été soignée par Lila, euh j'en prends qu'en cas d'extrême urgence, c'est à dire si j'en ai besoin pour une intervention, qu'il y a vraiment quelque chose d'important oui mais sinon je.. et d'ailleurs ma boîte de médicaments à la maison, elle est passée de deux boîtes comme ça à le strict minimum.

Julien: A part le dentiste qui est vraiment quelque chose où on peut pas faire grand chose, euh je vais jamais voir de médecin. Donc si vraiment je suis très très malade et que j'arrive pas à me soigner parce que j'ai récupérer le rhume de mon fils ou quelque chose comme ça, j'y vais mais euh..mais sinon jamais.
Si vous voulez, j'ai lu pas mal de choses et pour moi la médecine chinoise, c'était de soigner avant d'être malade. Si eux ils le faisaient il y a des milliers d'années, je pense qu'on peut le refaire relativement facilement maintenant. Voilà. Et soigner la cause plutôt que.. , soigner la cause plutôt que les effets, ça pour moi c'est rationnel. Soigner les effets sans comprendre la cause, là j'arrive pas à comprendre.

by MrsAM 28:15 - 30:15

En Chine ce qu’il se passe c’est que les médecins, ils sont payés une seule fois par an, c’est à dire, on va les voir et on fait en sorte de ne pas avoir de maladie, c’est à dire on fait de la prévention et ben c’est pareil, on fait de la prévention c’est à dire, on évite de…d’attraper des choses, c’est un peu comme si que on sait qu’il y a un petit peu...une petite brise dehors, ben on va prendre son parapluie pour éviter d’avoir la pluie sur la tête, d’être enrhumé, on va éviter d’avoir mal à la gorge, on va mettre son écharpe, c’est exactement la même chose, de bien alimenter son esprit, de bien alimenter son corps, automatiquement on peut que être bien.

Maintenant, si vous tombez d’une échelle, ben c’est mécanique, vous êtes tombés, vous êtes tombés, vous vous êtes fracturé un truc, bon, il faut que ça se ressoude. Bon le corps, il ressoude, alors maintenant, c’est bien parce qu’ils vous mettent des broches, des trucs. Pour ça, ils sont forts, non là y a pas de problème, là-dessus ils sont au point, ils peuvent vous foutre une prothèse de jambe qui part de la cheville qui arrive jusqu’au genou, jusqu’à la hanche, ils peuvent vous faire une jambe artificielle. Pff, maintenant on peut tout faire. Mécaniquement c’est formidable. Mais, ce qu’il y a c’est que c’est quand vous provoquez votre malade. Moi ce que j’aimerais c’est qu’on puisse justement reconnaître et valoriser cette chose là parce que c’est fantastique de pouvoir apporter un mieux être aux gens comme ça, naturellement en faisant juste réagir un corps, on n’a pas besoin de plus. Et si ça marche pas ben on va aller plus loin mais on peut déjà commencer par ça.

J’ai beaucoup travaillé, j’ai travaillé avec des médecins, avec des hôpitaux, voilà, y a des journalistes scientifiques, ils ont vraiment un regard objectif et ce sont des gens intelligents, on va dire, pour moi, qui voient que mes soins sur les personnes qu’ils m’envoient, sont vraiment…ils agissent, ils sont en action, ils le voient par leur scanner, ils le voient par leur radio, ils le voient par les analyses. Ils ont vraiment un regard sur moi bienveillant.

by gabrielle31 30:15 - 30:54

Le problème c'est qu'on a un système de médecine qui est... Ce que je trouve dommage, c'est qu'ils font des choses fantastiques, mais la médecine est dirigée par des laboratoires pharmaceutiques qui veulent avoir la main mise. Ils veulent tout régenter par la chimie. Et je m'excuse mais il y a des tas de choses comme ça, ce que je vous ai dit avant, qui ne se travaillent pas par la chimie, qu'on arrive à solutionner naturellement. Et il n'y a pas une médecine, mais des médecines. Vous avez l'acuponcture, vous avez l'homéopathie, vous avez les huiles essentielles, les fleurs de Bach, ce que je fais. Il y a un tas de choses qui existent.

by isa80 30:54 - 59:54

speaker:
J'ai eu la chance de naître dans une famille aisée avec un père médecin. Lui de son côté m'a beaucoup influencé sur la médecine et sur les médecines naturelles et me montrant d'ailleurs l'importance du terrain. De l'autre côté, ma mère, ma mère a eu un double impact sur mon évolution professionnelle, c'est qu'elle m'a montré, c'était une femme qui avait un grand cœur, qui était beaucoup tournée vers les autres. Et puis, d'autre part, elle a eu une grave maladie, elle était atteinte du cancer. Lorsque j'ai fini mes études de médecine, elle a commencé à faire une grave reshoot de son cancer plus de 18 ans après. Ça m'a fait poser plein de questions. J'ai vu, je l'ai piloté à ce moment-là dans les CHU, dans les services que je connaissais bien parce que j'étais étudiant en médecine à ce moment-là. Enfin, je terminais... mes stages à l'hôpital et donc j'ai vu toute l'importance, tout le cœur que donnaient tous les médecins, les personnels soignants, les infirmières à cette soignante. Tout le monde faisait un travail remarquable que j'ai beaucoup apprécié et de l'autre côté j'ai vu aussi les failles et donc quand j'ai commencé à exercer, je me suis tout de suite penché vers les médecines naturelles. Alors déjà, mon père, en ayant déjà beaucoup parlé de la coconuture de l'homéopathie, j'ai commencé à l'étudier et j'ai rajouté tout de suite aussi la sophrologie qui m'a passionné également. Moi j'étais toujours le fil d'Arianne, certainement par l'intermédiaire de ma mère, c'était toujours le cancer et j'ai terminé par faire un diplôme universitaire de cancérologie clinique parce que je me suis dit faut vraiment aller jusqu'au bout. il y a 45 ans, j'ai commencé une carrière de médecin généraliste. J'ai commencé à être un généraliste tout à fait conventionnel. Je faisais ce que font tous les généralistes. Je soignais les gens avec les méthodes que j'avais apprises à l'hôpital. Et j'ai eu un choc. C'est que je me suis rendu compte que la médecine que j'avais apprise à l'hôpital, c'est comment voir des gens malades et les soigner d'une manière qui les maintient dans la maladie. C'est un monde terrible. Et cette prise de conscience a fait que je me suis dit non, faire des diagnostics avec la médecine que j'ai apprise c'est bien, mais peut-être que dans la thérapie il y a autre chose que la chimie. Et puis peu à peu j'ai enrichi ma pratique par des méthodes que je n'avais pas apprises à l'hôpital mais qui m'intéressaient sur le plan de ne pas avoir que la chimie comme solution sur mon ordonnance, mais de pouvoir faire de l'acupuncture, de la méopathie, de tenir compte des régimes alimentaires, de m'ouvrir à d'autres techniques. De tout temps, j'ai toujours rêvé de soigner uniquement avec mes mains. Et en fait, j'ai rencontré plein de guérisseurs, de magnétiseurs, en France, de tous sortes de feux. Et donc, tous ces gens-là m'ont appris moult techniques. Et ces techniques, pendant longtemps, je les connaissais, mais je ne les pratiquais pas. Je ne me permettais pas de les pratiquer, par la bonne et simple raison que j'étais médecin et que pour moi, elles étaient complètement empiriques, même si pour moi, elles étaient bonnes, parce que le simple... Bon sens veut dire que si ces spécialités ont traversé les siècles et qu'elles ont toujours des patients qui viennent les voir, ça veut dire qu'elles ont des résultats. Il ne faut pas prendre les personnes pour des imbéciles. Donc ça veut dire que s'ils ont des résultats, ça vaut vraiment le coup de s'y pencher. Moi, ce qui a été le déclencheur, c'est en 99. En 99, j'ai fait un accident vertébral. J'ai fini en hidriscale paralysante et j'ai perdu l'usage de la jambe gauche. Donc là, en m'opérer en urgence, l'opération, bon, ça a bien marché et tout. Mais le problème, c'est que j'ai mis trois ans pour récupérer. Parce qu'une fois qu'ils ont fait l'opération, bon, c'est tout. Notre boulot est fait, maintenant, débrouillez-vous. À vous de jouer. Et alors, j'ai galéré pendant trois ans. Et c'est là que j'ai utilisé... cette ressource que j'avais et j'ai réussi à en marcher et puis à fonctionner. Et mon médecin qui a vu ça m'a dit, ben t'as un don où tu l'utilises pas pour soigner les personnes. Tu essayes et puis tu verras. Alors je fais quelques essais et c'est vrai que c'était concluant. Et de là, j'ai commencé. On a commencé surtout par des douleurs. On a eu le problème des gens qui ont des problèmes de dos. Ça marche bien. On laisse faire et puis ça marche tout seul. J'ai cherché à comprendre et je me suis rendu compte que les gens sur qui je travaillais, c'était des gens qui étaient énormément stressés. J'ai découvert au fil du temps que c'est le stress, l'excès de stress, les chocs émotionnels, décès, séparation, divorce, des gros chocs émotionnels qui créent des blocages. La tête génère le blocage et ça fait un peu comme si on fermait des portes. Les portes fermées, ça empêche de circuler au niveau énergétique et ça crée le problème. En fonction de sa faiblesse, ça va générer telle ou telle chose. Moi, le bobou, il ne m'intéresse pas. Moi, ce que je recherchais, là où ça a généré le problème. Et quand on remonte à ça, vous arrivez à faire tout partir en même temps, sur très peu de temps. La clé, c'est de comprendre que notre corps est d'une intelligence absolument incroyable. Notre corps est des millions de fois plus intelligent que tous les médecins du monde. Donc si le corps fait une maladie, c'est pas pour nous casser les pieds, c'est parce que ça a un sens. La maladie correspond souvent à une réaction saine de notre organisme face à une situation qui nous est déséquilibrée. Comme le disait le docteur Bach, celui qui a organisé les petites fleurs de Bach, il disait « on tombe malade quand nos actions dans le domaine de vie quotidienne ne sont pas en adéquation avec nos aspirations, avec nos pensées profondes ». Et ça il avait raison parce que tout simplement, nous c'est un pareil, c'est qu'on est toujours en train d'être au compte des conciliations, on est en train de faire des compromis avec la vie, avec tout ça. énoignés. Et dans un temps, il y a un petit choc émotionnel qui arrive, mais on le met de côté. On l'oublie. Et puis dans un deuxième temps, comme on n'a rien résolu du tout, ce choc émotionnel, ce conflit va revenir d'une manière peut-être un petit peu plus forte, jusqu'à la dernière touche, déclencher vraiment une maladie. Comme si notre conscience ou notre être intérieur n'avaient plus que cette ultime solution pour nous faire prendre conscience justement qu'on n'est pas sur notre voie et qu'il était temps de changer. J'ai fait plusieurs années dans la banque avec tout un cursus académique, une haute école de gestion en Suisse. J'étais vraiment très stressé par mon travail et puis j'avais aussi un rapport au monde qui était assez compliqué. Je me mettais beaucoup de pression, je voulais toujours être le meilleur, être très compétitif et du coup ça a généré un stress qui est devenu permanent, un stress chronique jusqu'au burn-out. Et le stress, c'est la crispation, c'est du catabolisme, ça crée de l'acidité, ça crée des déchets. Et puis le corps est tout le temps en lutte pour éliminer et au moment donné il sature. Comme on est mal dans son corps, on est mal dans sa tête, on est en dépression, c'est vraiment une sorte d'épuisement total. Et là, je me suis ouvert à des techniques de bien-être, d'abord la sophrologie, la relaxation. Et puis de fil en aiguille, je suis arrivé à la méditation et puis là j'ai trouvé vraiment une passion, quelque chose qui me permettait de me ressourcer, de me reconnecter à moi-même et puis d'apprendre aussi à mieux me connaître, d'observer tous ces mécanismes de l'ego, ce rôle que je voulais tout le temps tenir face au monde, face aux autres, pour paraître et qui me mettait beaucoup de pression sur les épaules. Pour comprendre la maladie, il faut déjà... On regarde ses causes. Nous sommes tous encrassés. Nous sommes tous pollués. Nous sommes tous en excès d'acide dans notre organisme. On a plein de polluants, on a des pesticides, tout ça, on le sait. Il y a des preuves, il y a des épreuves, des prises de sang qui nous l'ont tous montré. Mais bon, normalement, on arrive à vivre. On survit, l'organisme s'en débrouille, etc. Et arrive un beau jour, un choc émotionnel qui lui va apporter une émotion. Cette émotion vibre à une certaine fréquence qui va venir se localiser sur un organe qui justement vibre sur cette fréquence et va venir bloquer la circulation énergétique dans cet organe. bien que tous les polluants du corps vont se concentrer et vont commencer à déclencher la maladie. Donc la médecine conventionnelle a raison, elle dit bien sûr, c'est les polluants, c'est les acides, c'est l'hérédité, c'est dur. Par contre, le choc émotionnel lui n'est pas la cause, lui est le facteur déclenchant, c'est lui qui va faire que, qui va indiquer pourquoi la maladie se déclenche à ce moment-là et pourquoi elle se déclenche sur tel organe. Et donc de toute façon, il y a des choses à comprendre dans la maladie. C'est pour ça aussi que j'étais ennuyé en tant que médecin parce que les personnes venaient me voir pour les soigner sur le plan ample. Mais la plupart n'arrivaient pas à comprendre que la maladie essaie de leur demander quelque chose, de changer quelque chose. La plupart du temps, les personnes ont une petite idée de ce qui a pu se dérouler ou ce qui a pu... faire venir la maladie. Ils ont une petite idée. On a que dans leurs discours, des fois ils disent « Ah oui, depuis que je suis en retraite, j'ai eu un cancer, depuis que mon mari m'a quittée, j'ai du mal à dormir » et j'ai ceci. Et ils ont des petites pistes. L'être humain, il a toujours ce dire « C'est pas possible. C'est pas possible qu'un mot, qu'une situation, qu'un comportement peut créer une grosse maladie. C'était pas possible. » Notre société perçoit de les gens qui sont des victimes et que la maladie leur tombe dessus par hasard, comme une tuile qui tomberait d'un toit. C'est tout faux. Dans toutes les médecines anciennes, on dit « nous sommes responsables ». C'est nous qui créons notre santé ou notre maladie. Si on vit d'une manière malsaine, par exemple si je mange n'importe quoi, si je garde la colère à l'intérieur, si je n'ai aucune connexion avec la vie, que je suis dans la haine, dans la peur, dans le contrôle, mal vivre va faire que la maladie arrive. En fait la maladie c'est un avertissement pour nous dire oh oh comme une ampoule rouge qui s'allume au tableau de bord de la voiture. Ça veut dire qu'il y a quelque chose qui va pas. Donc j'ai compris que la guérison ça n'a rien à voir avec le fait de faire ou pas des traitements. Les traitements, ça soulage, ça peut faire du bien ou pas, mais la guérison, c'est autre chose. C'est permettre au corps physique de se régénérer, parce qu'il sait le faire, mais que pour qu'il puisse le faire, il faut avoir une démarche globale, holistique. C'est-à-dire qu'il va falloir s'occuper de son corps physique, certes, mais ne pas croire que c'est la totalité du problème. Parce que même si vous mangez très sainement, vous faites des jeûnes, des graines germées, des massages et du sport... Si vous ne vous occupez pas du corps émotionnel, vous pouvez être malade, non pas pour des raisons physiques, mais pour des raisons d'émotions qui ne circulent pas. Et ce qu'on nous a appris à faire, c'est « Chut, tais-toi! » Tu ne cries plus, tu ne ris plus, tu ne pleures plus, tu deviens comme tes parents, sérieux. Et on entre dans le stress, on entre dans ce moule occidental que la vie c'est dur, il faut tout le temps se battre, c'est la compétition, etc. Et on a perdu l'usage de notre corps. Et regardez ce que ça donne, regardez ce nombre de personnes âgées qui sont de plus en plus lourdes, qui avalent des pilules et qui ont une vie vraiment catastrophique. Alors que nous n'avons pas été conçus par la nature pour devenir vieux et malade. Il n'y a aucune raison d'être vieux et malade. Si on est vieux et malade, c'est parce qu'on a des habitudes qui nous poussent à ça. C'est vrai qu'on vit dans une société où il y a beaucoup de stimuli négatifs, de stimuli désarmonieux, la pollution, les ondes électromagnétiques. Si l'être humain vivait en harmonie avec un environnement naturel, il serait moins exposé à ses sources de pollution. Mais après effectivement, comment je me sens moi? Il y a des gens qui sont exposés aux mêmes stimuli désharmonieux et qui vivent bien. Pourquoi? Parce qu'ils ont un autre rapport à eux-mêmes, ils ont un autre rapport à la vie. Après il y a beaucoup de facteurs dans la maladie aussi, le terrain génétique, il y a la psyché. Mais ce qu'on a pu constater c'est que les gens qui tombent malades, souvent c'est des gens bileux, c'est des gens anxieux, c'est des gens qui sont facilement submergés par le stress. C'est des gens qui ruminent beaucoup. le mental c'est la voix qui nous parasite, c'est la voix qui va vous dire mais attention ce soir tu vas repartir chez toi, donc n'oublie pas faire le plein des sens et puis hier pourquoi tu as dit ça à tel, tu aurais pas dû lui dire tout le souci et puis le week-end prochain tu vas à tel endroit et tu l'oublieras pas parce qu'il faudrait dire, moi qui est sans arrêt de vous jacasser dans la tête de tas de choses et ça c'est pas penser, ça c'est pas réfléchir au contraire ça vient vous embêter, empêcher de réfléchir et quand on arrête son mental, en fin de compte c'est ce qui est extraordinaire c'est qu'en arrêtant le mental, et bien d'un coup les choses essentielles ressortent Et donc, notre esprit devient beaucoup plus clair. On ne veut pas la mort de l'ego, l'ego est utile, on ne veut pas la mort du mental, mais on lui demande simplement de laisser un petit peu la place aux autres. Et comment on peut arriver à calmer le mental? La première chose pour calmer le mental, c'est d'être ici, maintenant, dans le présent. Une petite méditation permet de faire une prise de décision parce que là, on voit vraiment les points importants et les choses deviennent très très claires. Pour moi, la méditation, c'est être attentif, être pleinement présent. Et du moment où on est focalisé sur l'instant présent, on est moins dans le mental, on est moins pris par nos pensées négatives. Et du coup, ça calme. De par le fait qu'on va s'ouvrir à un plus grand afflux de lumière, de ce que j'appelle le souffle vital aussi, en Inde ils appellent ça le prana. C'est cette quintessence subtile qu'on capte par la respiration et qui est la véritable force de réharmonisation, la force de guérison pour être en équilibre, en pleine santé. Quand on médite et quand on est dans cet état de réceptivité et d'écoute attentive de ce qui est, il y a cette paix qui s'installe et de par cette paix, le souffle peut mieux nous pénétrer, peut mieux rentrer dans le corps et y rétablir l'harmonie. Alors automatiquement, on va se sentir bien dans sa peau, bien dans sa tête, bien dans son corps. Ça nous donne une force, ça nous donne un souffle. Les expressions sont parlantes à ce niveau-là. Quand on dit « je suis à bout de souffle », « j'ai les nerfs à vif », « je suis à côté de mes pompes », « je suis hors de moi », c'est qu'on n'est pas bien, justement, au manque d'énergie. On est en déséquilibre. La méditation nous recentre, nous rassemble en nous-mêmes. Et je pense que chacun devrait pratiquer la méditation. Et si on n'aime pas le mot parce qu'il est trop connoté religieux, bouddhisme, et puis qu'on n'est pas versé dans la religion, alors simplement ressentir. Ce qui est passionnant avec la physique moderne, ou bien la physique quantique, c'est qu'on a été obligé, si vous voulez, de voir que la matière, les émotions, les pensées et quelque chose d'autre, fonctionnent ensemble. J'ai découvert justement qu'il y avait des tas d'autres médecines qui, depuis des millénaires, ont une vision différente que la vision matérialiste. La vision matérialiste, c'est qu'il y a le corps physique, c'est tout ce qui existe, on soigne le corps physique, et le reste on n'entend pas parler. J'ai découvert ce qu'on appelle aujourd'hui la médecine holistique. Cette médecine holistique, c'est de comprendre que l'être humain n'est pas qu'un corps physique, il est un tout beaucoup plus grand. Nous avons un corps physique certes, mais ce n'est pas la totalité de ce que nous sommes. Il y a d'autres réalités que la matière. Toute la matière dans l'univers n'est formée que d'énergie. Toutes matières, tous les corpuscules, toutes les particules ne sont que des énormes concentrations d'énergie. Nous sommes de l'énergie à l'état pur avant même d'être physique ou chimique. Donc c'est pour ça aussi que j'ai commencé à comprendre que travaillant sur l'énergie, on pouvait travailler sur le corps. Nous sommes formés d'un corps physique et de corps subtils qui sont là encore à la fois dans notre corps physique et qui débordent de notre corps physique. Et ces différents corps font partie de nous. Il y a eu les premières photos qui reliant, les photos qui reliant et qui remontent déjà plus d'un siècle et qui photographiaient les premières couches de l'orain qui sont autour de notre corps. Il faut bien comprendre qu'on ne voit pas les corps énergétiques parce que tout simplement tous nos cinq sens sont situés dans le corps physique, donc ils sont sur le niveau vibratoire du corps physique. d'autres plans. Et si on veut commencer à les ressentir, il va falloir justement utiliser d'autres sens, justement le ressenti, l'intuition, la clairvoyance, etc. Ce sont des sens qui sont subtils et qui ne font pas partie de notre lot quotidien. On peut puiser déjà sur les... chez les indiens, parce qu'en médecine ayurvédique on retrouve la description de tous les corps et les ont décrits d'une manière remarquable. Mais il faut bien comprendre, c'est qu'il n'y a pas que des indiens, c'est qu'il y a aussi les américains, les russes, donc tous ces gens-là ont beaucoup, beaucoup développé les corps énergétiques, la recherche des corps subtils, etc. Et j'en discutais souvent avec une amie américaine, elle était toujours à Berlum, disant « mais c'est pas croyable qu'en France on pose encore les questions de savoir si les corps énergétiques existent, alors qu'aux États-Unis c'est… » en Russie, ce sont des choses qui sont des lapalissades, ce sont des évidences et ils ne sont pas en train de se poser la question « est-ce que ça existe? », ils sont en train plutôt de commencer à les… pas commencer, mais d'utiliser d'une manière très pragmatique et très quotidienne. En fait, la maladie, quand les personnes viennent me voir, ou elle est déjà en action, active dans le corps physique, ou elle est en cours d'installation, moi j'appelle ça d'installation, c'est-à-dire elle est dans des corps, elle est envoyée, on va dire, elle est en attente, et elle arrive petit à petit dans le corps physique. Voilà, c'est comme ça que je la vois. Mais les gens ne la ressentent pas, puisqu'elle est dans le corps énergétique, à part si on ressent bien des choses, on se dit, j'ai des lourdes en ce moment, je le sens pas bien, je me sens fatiguée, ça va pas trop, et on commence, on commence si on fait par exemple des analyses médicales ou autres, on commence à voir qu'il y a des bêtes quelque part, ça commence à rentrer dans le corps physique. Avant qu'une maladie se manifeste sur notre corps physique, elle est déjà présente dans nos autres corps qui sont éloignés. Voilà, et qu'on ne voit pas, qu'on ne perçoit pas. Mais par contre, que Lila peut percevoir. Donc en travaillant sur des choses qui arrivent sur nos corps des plus lointains, effectivement, ça empêche la manifestation. Les médecins matérialistes, ils s'occupent du corps physique. Vous avez le foie malade, des magnétiseurs ou des chamans, c'est qu'ils s'occupent de la totalité de l'être humain. Donc beaucoup des choses qu'ils font ne s'expliquent pas au niveau physique, mais parce qu'en fait ils travaillent sur d'autres plans de conscience. Donc ils sont dans d'autres réalités. Moi je fais une imposition de main et je laisse travailler. Alors on sent, ça chauffe, ça peut monter en température. À un moment donné, je sens que c'est bon, il y a une dose d'énergie qui est passée et le corps va se mettre à réagir. Il y a des gens, je leur pose les mains sur la tête, ils sentent, ça passe, il y en a ça, jusqu'aux orteils, ils sentent ça circuler. Il y en a qui sentent du froid, il y en a qui sentent du chaud, il y en a qui sentent des picotes, mais en près, c'est un peu chacun son truc. Il y en a qui sentent rien, mais ça passe. Moi, quand je donne, je sens que ça part. Et moi, les gens, quand ils me disent que je suis passé par le circuit médical, ils m'ont dit, parce que dans 94% des cas, c'est comme ça, ils m'ont dit qu'ils ne peuvent rien faire pour moi. Ils ne voient pas ce qu'il y a. Il n'y a rien. Aux examens médicaux, il n'y a rien. Ils ne comprennent pas pourquoi ça a agi. Quand on me dit ça, on m'a su du pain menu parce que je sais qu'à ce moment-là, on est plutôt sur un blocage psychologique. Donc mon boulot, ça va être d'aller chercher. Donc je vais faire un scanage du corps avec les mains. Donc là on va travailler sur un point d'énergie énergétique et on va rechercher là où ça bloque. Où il y a des blocages. On va rebalancer en énergie pour ouvrir, pour refaire circuler. Mais moi je ne travaille pas un problème, je travaille un corps. Toujours, moi j'ai trouvé qu'il fallait travailler le corps dans son intégralité, ce qui permet de tout balayer. Donc on travaille le tout, de toute façon tout ça, il faut que ça fonctionne en énergie, il faut que c'est rétabli. le programme est sur une meilleure route. Quand on examine une personne au niveau énergétique, on va avoir deux sortes d'informations qui sont absolument très importantes. Les deux premières, c'est qu'on voit des blocages énergétiques qui vont correspondre à des chocs émotionnels et on sait très bien que si on laisse ces chocs émotionnels, si on laisse ce blocage énergétique, tôt ou tard ça va déclencher une maladie. Donc là on est en train de faire de la médecine préventive, un petit peu comme quand il y a aussi des blocages sur l'évacuation des énergies usagées. ou tard que ça va déclencher des troubles, des problèmes chez la personne. Ça on le sait. Donc là c'est pour ça que la médecine énergétique, tout comme le fait mais d'une manière plus limitée mais le fait et l'acupuncture, c'est une très très bonne médecine énergétique. Et inversement on peut aussi voir des anomalies dans les corps énergétiques qui correspondent, qui nous indiquent que l'organe en dessous est déjà malade. Parce qu'on peut jouer sur le diabète, sur l'attention, sur... Quand ce sont des maladies qui sont déclenchées, on vient toujours sur l'histoire de stress. faites sauter les blocages moi je dis aux gens t'entends vous êtes sous court vous avez quoi comme mes docks j'ai ça ça ça bon faites surveiller par le toby parce que comme je fais réagir votre corps si c'est un problème de blocage qu'on régule Si vous prenez des trucs pour le cœur, c'est plus nécessaire, vous allez retrouver quelqu'un qui... Moi j'ai un pote qui est cardiologue, il m'a dit, écoute, c'est pas compliqué, t'as 75% des problèmes cardiaques qui sont liés au stress. Ils sont pas liés à un problème cardiaque mécanique, c'est lié à un état de stress. Tu régules l'état de stress, tu solutionnes le problème. Moi je guéris pas les gens. On dit guérisseur, non c'est faux. guérisseur, c'est quelqu'un qui va déclencher la guérison. Je pratique l'art de la guérison, c'est-à-dire c'est un art. On ne peut pas dire une médecine parce qu'on peut avoir de problème parce que la médecine c'est protégé. Donc l'art de la guérison, c'est l'art de générer la guérison chez une personne, la déclencher. Et une fois qu'on l'a déclenché, ça va s'auto... la personne va s'auto gérer et va automatiquement se remettre en fonctionnement. C'est la première fois que je venais voir une guérisseuse, une énergéticienne. J'avais été orientée vers Lila par une connaissance qui m'avait invitée à prendre rendez-vous avec elle parce que j'avais expliqué que ça faisait des années que j'essayais de soigner une grosse fatigue que je n'arrivais plus du tout à surmonter. J'avais déjà entendu que... des magnétiseurs pouvaient soigner et guérir d'un certain nombre de mots. Elle m'a démontrée par un certain nombre d'exercices la puissance et la force du magnétisme. Je me suis sentie voler, c'était extraordinaire. Beaucoup plus légère, j'ai senti qu'un certain nombre, enfin que le poids que je ressentais sur mes épaules aussi bien physiquement qu'émotionnellement. Voilà, c'était tant volé. En fait j'avais des gros problèmes de genoux et je t'allais voir plein de docteurs, de généralistes, de spécialistes du genou, des grands spécialistes, quatre ou cinq, et leurs réactions c'était vraiment surprenant, c'était des trucs, vous boitez, vous avez béquis mais on ne sait pas trop ce que vous avez. Et du coup, au bout d'un moment, ma mère m'a emmené, elle m'a dit on va essayer quelque chose de différent que tu n'as jamais vu auparavant. On ne sait jamais, ça peut marcher. Et donc, ma mère m'a emmené voir Lila. À l'époque, je ne chantais vraiment rien du tout. Je ne sais plus tout le cas maintenant, mais je suis sortie de là. Tout de suite, ça allait beaucoup mieux. Et mes genoux, dès après, je n'ai plus de béquilles. Je boitais encore un petit peu. Et dès la deuxième fois que je l'ai vue, je n'avais plus rien du tout. m'avait donné des traitements avec des plantes, des choses très naturelles, très légères, très faciles à prendre. Si vraiment ils ont une grosse maladie, là oui ils viennent mais vraiment en disant moi j'y crois pas, je suis là, je tente mon coup. Voilà ce qu'ils me disent. Alors bon après peu importe, je suis pas avocate, je vais pas... Je soigne et après, c'est eux qui prêchent ma paroisse. Je travaille aussi sur les fibromyalgies. C'est une maladie, ils sont encore en train de chercher comment ça marche, parce qu'ils ne la connaissent pas, ils n'ont pas de solution. La solution c'est morphine et puis antidépresseur, et puis pour finir on peut essayer de soulager les gens, parce que c'est une grosse douleur, une grosse fatigue. Alors vous avez plusieurs étages et les plus gros étages chez des gens qui sont grabataires. Et la fibromyalgie, c'est pas une maladie, c'est un état de stress important. Tout s'éveilouille et quand on arrive à trouver où ça bloque, qu'on libère, c'est là, c'est une miracule. De grabataire, vous passez à... en fait, faut dire. Une fois que vous avez débloqué le corps et ça se soigne très bien comme ça. Et si vous passez par le milieu médical, il pâteauge notamment parce que c'est pas avec des médocs qu'on arrive à soigner ça. Bon, par contre, si vous avez une infection dentaire à tout bout, qui a besoin d'antibio, il faut les prendre. Moi je vais jamais contraindre. Le gars qui a un traitement médical, c'est pas mon domaine. Il voit son tout bi, il se débrouille avec. Moi je travaille pas là dedans. Je vais venir en complément. L'important à voir, c'est que dans la médecine holistique, on ne renonce pas au bon côté de la médecine moderne. Parce qu'elle sauve des vies, c'est sûr, quand vous êtes écrabouillé sur la route. Cette médecine d'intervention extérieure a sa valeur. Mais le drame, c'est que cette médecine n'aurait jamais dû quitter les hôpitaux. L'antibiotique qui sauve la vie d'un grave malade, le donner à un enfant quand il a une angine, c'est de la folie totale. Donc il faut avoir du bon sens. Et nous, ce qu'on propose, c'est une bonne utilisation de toutes les médecines. Si vous avez un cas gravissime, ok, prenez la médecine chimique chirurgicale, elle a sa valeur. Si c'est moins grave, prenez les méthodes naturelles, l'homéopathie, le régime, etc. Et puis développez les moyens de santé pour que vous soyez de moins en moins dépendant d'une aide extérieure. Le but c'est de devenir l'artisan de sa guérison. En toute chose, il y a un bien et il y a un mal. Les médicaments peuvent être utiles. Par exemple, prenez une personne dépressive. Elle a vraiment la tête sous l'eau. Elle ne peut pas faire un travail psychologique. Elle ne peut pas ressentir. Elle est vraiment noyée dans sa tristesse, dans ce sentiment de vide. Peut-être que l'antidepresseur va être utile pour lui sortir la tête de l'eau pour qu'après elle puisse faire un travail à un autre niveau. Les médicaments, ça peut être la même chose. Si j'ai une très forte douleur, je ne peux pas méditer. Je vais être dans un état de mal-être. Donc ça peut être intéressant à un moment donné de prendre un anti-inflammatoire. mais ça ne doit pas étouffer le symptôme et nous empêcher d'aller voir où il y a la cause. Les médicaments, du moment où j'ai été soignée par Lila, j'en prends qu'en cas d'extrême urgence, c'est-à-dire si j'en ai besoin pour une intervention ou s'il y a vraiment quelque chose d'important, oui, mais sinon... D'ailleurs, ma boîte de médicaments à la maison, elle est passée de boîte comme ça à le strict minimum. À part le dentiste, qui est vraiment quelque chose où on ne peut pas faire grand-chose, je ne vais jamais voir de médecin. Donc si vraiment je suis très très malade et que je n'arrive pas à me soigner parce que j'ai récupéré le rub de mon fils ou quelque chose comme ça, j'y vais mais sinon jamais. Si vous voulez, j'ai lu pas mal de choses et pour moi la médecine chinoise c'était de soigner avant d'être malade. Si eux ils le faisaient il y a des milliers d'années, bon je pense qu'on peut le refaire relativement facilement maintenant. Voilà. et soigner la cause plutôt que les effets, ça pour moi c'est rationnel, soigner les effets sans comprendre la cause, ça j'arrive pas à comprendre. En Chine, ce qui se passe, c'est que les médecins, ils sont payés une seule fois par an. C'est-à-dire, on va aller voir et on fait en sorte de ne pas avoir de maladies. C'est-à-dire, on fait de la prévention. Et bien, c'est pareil. On fait de la prévention, c'est-à-dire, on évite d'attraper des choses. C'est un peu comme si qu'on sait qu'il y a un petit peu, il y a une petite brise dehors, on va prendre son parapluie. On va éviter d'avoir l'appui sur la tête, d'être enrhumé. On va éviter d'avoir mal à la gorge, on va mettre son échelle. C'est exactement la même chose. De bien s'alimenter son esprit, Maintenant si vous tombez d'une échelle, chez mécanique, vous êtes tombé, vous êtes tombé, vous vous êtes fracturé un truc, bon il faut que ça se ressoude. Bon le corps il ressoude. Maintenant c'est bien parce qu'ils vous mettent des broches, des trucs, pour ça ils sont forts, il n'y a pas de problème. Là dessus ils sont au point. Ils peuvent vous foutre une prothèse de jambe qui perd de la cheville, qui arrive jusqu'aux genoux, jusqu'à la hanche, ils peuvent vous faire une jambe artificielle. Maintenant on peut tout faire. Mécaniquement c'est formidable. Mais ce qu'il y a, c'est quand vous provoquez votre maladie. Ce que j'aimerais c'est qu'on puisse justement reconnaître et valoriser cette chose-là. Parce que c'est fantastique de pouvoir apporter un mieux-être aux gens, comme ça naturellement, en faisant juste réagir encore. On n'a pas besoin de plus. Et si ça ne marche pas, on va aller plus loin. on peut déjà commencer par ça. J'ai beaucoup travaillé, je travaille avec des médecins, avec des... j'ai travaillé avec des hôpitaux, je travaille avec... voilà, il y a des journalistes scientifiques, donc ils ont vraiment un regard objectif et ce sont des gens intelligents, on va dire, pour moi, qui voient que mes soins sur les personnes qui m'envoient sont vraiment... ils agissent, ils sont en action, ils sont vraiment... ils le voient par leur scanner, ils le voient par leur radio, ils le voient par les analyses, ils le voient, ils ont vraiment un regard sur moi. bienfaisant. Le problème c'est qu'on a un système de médecine qui est, je trouve dommage, ils font des choses fantastiques mais la médecine est dirigée par des laboratoires pharmaceutiques qui veulent avoir la mainmise. Ils veulent tout régenter par la chimie. Et je m'excuse mais il y a des tas de choses comme ça, ce que je vous ai dit avant, qui ne se travaillent pas par la chimie. Donc on arrive à solutionner naturellement. Il n'y a pas une médecine, il y a des médecines. Vous avez l'acupuncture, vous avez l'homéopathie, vous avez les huiles essentielles, les fleurs de bac, ce que je fais. Donc il y a un tas de choses qui existent. Et moi je dis qu'il faudrait utiliser s'il correspond mieux à la pathologie et commencer par des choses douces et pas commencer par l'artillerie lourde. Parmi les médecins, je pense, je n'ai pas fait de sondage, mais je pense qu'il y a une énorme majorité qui n'admet pas la médecine énergétique. Déjà, vous savez, l'acupuncture qui touche un petit peu cette médecine énergétique, elle est acceptée du bout des lèvres et encore dans certaines indications, bien et bien strictes, etc. Donc ça, c'est vrai que la majorité ne veut pas en entendre parler. Par contre, c'est vrai que dans d'autres cas, je sais que, par contre, dans certains endroits aux États-Unis, il y a beaucoup de chirurgiens qui refusent d'opérer s'il n'y a pas un thérapeute énergéticien dans le bloc opératoire. Donc on se retrouve un petit peu avec les deux. Moi je sais aussi que j'ai pas mal de médecins qui viennent aussi à mes stages pour apprendre un petit peu les soins. Déjà on a beaucoup de mal à faire passer le message que derrière le côté physique il y a toujours une cause psychologique. Déjà rien que ça on a déjà beaucoup de mal à faire admettre ça aux médecins. Et alors quant à leur faire comprendre l'aspect énergétique, il y en a qui sont prêts à l'ouvrir, il y en a qui ne sont pas prêts. La médecine naturelle, elle ne peut pas être proposée comme traitement alternatif parce que tout simplement on manque cruellement d'études. C'est ça le problème. Moi j'ai travaillé beaucoup en cancérologie. Il y a des remèdes qui sont remarquables en médecine naturelle mais je ne me permettrai jamais de dire à un patient arrêtez votre traitement de chimio, ne faites pas la radiothérapie, prenez le traitement naturel parce que je ne sais pas les... Parce qu'on dit ça marche, ok ça marche mais... Les personnes qui disent que ça marche bien, mais ils ne nous disent pas non plus quand ça ne marche pas non plus. Le truc c'est qu'on a besoin d'études et ça c'est là où la médecine naturelle vraiment pourra faire quelque chose, fera un grand bond en avant quand il commencera à y avoir des études probantes parce que ce n'est pas sur trois personnes, ni sur cinq personnes, ni sur cinquante personnes. Il faut des études qui soient sur des cas vraiment très très importants. Et là ça commencera à devenir intéressant et commencera à avoir des résultats. Moi il faut rigoler, on ne peut pas prouver scientifiquement. qui ne veulent pas admettre, je ne sais pas moi, sur 15 000 lacs de garrison que j'ai pu faire dans ma vie, bah vous avez de quoi faire au niveau statistique. Vous savez, un gars qui arrive avec des béquilles, et qu'il s'est posé le pied par terre, vous lui mettez son pied sur l'entor, s'il s'envoie un marchand avec ses béquilles sous le bras, je ne sais pas ce qu'il leur faut. Moi je ne sais pas, c'est parlant ça. Le gars qui fait des migraines sur migraines, qui bouffe des cachetons à Thierry Larigault, vous y faites deux séances, il n'y a plus de migraines pendant six mois. C'est parlant, je sais pas, la petite vieille qui est son bras bloqué, vous y débloquez, elle se lève, elle fait son bras, plus ce qu'on a fait, plus ce machin, ça va, plus de douleur, on ne prend plus de médocs. C'est parlant, il faut ouvrir les yeux, il faut connaître les choses. Moi je dis, il n'y a pas de mauvais éguérisseur. De toute façon, les charlots, ils ne tiennent pas la route parce que vous savez, on marche comment? Par bouche-oreille. Si vous allez voir un gars qui... Vous n'allez pas le recommander. S'il n'est pas bon, il n'y va pas. Vous savez, le bouche-oreille négatif est vachement plus puissant que le bouche-oreille positif. Les gens sont sceptiques, mais c'est normal, ils ne connaissent pas, c'est vrai que c'est bizarre. L'autre jour, j'ai eu un gars qui m'amène sa femme, qui s'est détourné la cheville. Je lui remets, elle repart en marchant, et il lui dit, tu es foutu de moi, tu n'avais rien. Le mec il va dire tu t'es foutu de moi, t'avais rien. La preuve sous le nez, qu'on ne prenne pas. ça résume tout. Par contre on voit aujourd'hui les docteurs, des médecins généralistes, des gens qui travaillent dans les hôpitaux et en fait quand on connaît un peu ça, on connaît les gens qui s'intéressent à ça et on voit qu'il y a plein de gens hyper... on ne pourrait pas imaginer des chirurgiens ou des choses comme ça qui servent de ça tous les jours sans le dire parce que c'est des choses dont on parle pas. Après moi j'en ai vu plein, même dans des conférences de l'ILA, des trucs... Les gens qui arrivent vraiment avec une grosse pathologie ont l'impression que... Ils ont le monde sur les épaules et qui repartent et qui sont enfin... Le monde sur les épaules complètement pli en deux avec... Qui ont du mal à se déplacer. C'est comme dans les films. Et presque ils lancent la béquille en l'air et font... Et c'est enfin... J'ai vu ça plein de fois. Les gens qui voyaient mal, qui arrivent de nouveau à voir... C'est un miracle mais... J'en ai vu plus ça plein de fois. Les miracles c'est tous les jours. Ne serait-ce qu'une personne qui a un eczéma qui a pu se... Son eczéma pour moi c'est un miracle. Pour la personne qui en souffre c'est un miracle. Euh... Personne qui doit mourir et qui a plus son cancer et que les scientifiques n'arrivent pas à l'exprimer ou à l'expliquer, où ils disent que c'est bon, voilà, c'est comme ça, c'est que ça devait être fait ou autre. Non, pour moi, c'est des miracles. Mais il y en a toujours, on les cache, tout simplement. On ne va pas dire à la télé « Ah, une jeune femme a été guérie », « Ah, une femme qui n'arrivait pas à avoir de bébé, un guéri sur la guérie », on ne va pas le dire. Le problème c'est qu'on est seul. On est très seul dans ce métier-là. Et puis on n'est pas aidé parce que comme l'entourage vous demande si vous avez profumé la moquette, moi quand j'ai basculé dans cette voie-là, on est vous familial, vous savez. On regarde un drôle-œil, il dit « Qu'est-ce qu'il nous fait là? » Parce qu'ils vous connaissent, hein. Donc il dit « Qu'est-ce qu'il nous fait là? » Bon, l'extérieur ça passe mieux. Mais on n'est pas aidé, il faut qu'on ait une certaine force. surmonter tout ça et puis bon bah et au début on se posait question on dit est-ce que c'est la voie est-ce que je fais pas fausse route est-ce que c'est vrai c'est pas vrai ça marche ça marche pas puis au fur et à mesure qu'on fait on a les résultats donc on les additionne on fait une fois cinq fois dix fois vingt fois cinquante fois bon là à force d'additionner les résultats on dit bon bah ça fonctionne on sait que ça ça marche c'est dur de vivre dans cette société en tant que médium, c'est dur de vivre en tant que socie, en tant que guérisseur et en plus en tant que femme. On vous critique, on vous dit que vous êtes... c'est du placebo, c'est du je sais pas quoi, et quand on voit vraiment, parce que moi j'ai été testée quand même par des scientifiques, j'ai été testée par des gens tout simplement, les gens qui sont guéris, les gens qui... quand on voit même qu'il y a du résultat que c'est là, bah... on va quand même... l'être humain il est... il est... il laisse pas de la chance, il laisse pas de la... Il ne se laisse pas sa propre chance d'évoluer et d'ouvrir ses yeux. Moi, mon rôle, c'est de dire aux gens, vous avez raison de ne rien croire sur parole. Parce qu'on vous a souvent mis dans beaucoup d'ennuis à vouloir vous obliger à croire quelque chose. Au Moyen Âge, vous deviez croire que la terre était plate, autrement vous brûlez sur un bûcher. Maintenant, vous devez croire que l'industrie chimique va vous sauver la vie, autrement. Vous devez croire que les vaccins, c'est la seule chose qui... Je prends un certain nombre des croyances de base de notre société et je montre qu'elles n'ont aucun fondement scientifique. Étonnant! Je prends un exemple. de français croient que si on n'a pas de protéines animales, pas de viande et pas de lait, on ne peut pas vivre. Eh ben c'est une croyance totalement fausse. Vous étudiez scientifiquement les études là-dessus, vous voyez que non, il y a toutes les protéines dans les végétaux. Je travaille là-dessus depuis 45 ans. Et la loi simple pour l'alimentation, elle est très très simple, c'est la loi des 3 V, végétal vivant varié. Qu'est ce que ça veut dire? Le premier V de végétal, c'est que le corps humain a été conçu par la mer nature pour fonctionner avec des végétaux. Et tout ce qu'on mange qui vient de l'animal nous rend malade. Et ça c'est archi documenté maintenant par des grosses études comme le projet CHINE, etc. qui montrent qu'il y a un rapport absolument inévitable. Plus les gens mangent de produits animaux, c'est-à-dire viande, lait, oeufs et poissons, plus ils sont malades. Plus ils mangent de végétaux, plus ils sont en bonne santé. Et ça, on ne peut pas dire non. Ce n'est pas une idée. Ce sont des faits prouvés par des tas de recherches. C'est le premier V, le V de végétal. Le deuxième V, c'est le V de vivant. C'est que si vous mangez que des végétaux, mais qui sont tous cuits, il n'y a plus de vitamines et d'enzymes. Donc il faut avoir assez d'aliments crus. Et c'est un des drames des peuples modernes, c'est que tout est cuit. Donc on n'a plus de vitamines et d'enzymes. Donc le V de vivant, il faut avoir assez d'aliments crus. Et l'alimentation végétale crue, ça s'appelle alimentation vivante. Et c'est en quelque sorte la base de ce qu'il faudrait faire pour aller bien. Mais le troisième V est très sympathique, c'est le V de varié. c'est que si vous êtes tout le temps en train de manger que des salades et des graines germées, du bio, etc. vous devenez quelqu'un pas très convivial. et vous avez des guerres sociales parce que les gens disent « oh là là, il nous crasse les pieds » la clé du « V » de varier c'est que vous pouvez de temps en temps aller au restaurant avec les amis, boire du champagne, faire la fête donc vous n'êtes pas quelqu'un de fermé dans une chapelle alimentaire où ils mangent toujours comme ça, vous êtes quelqu'un de vivant, d'agréable. Donc le concept du varier est très dynamique parce qu'il permet de changer pendant un temps. Qu'est-ce que c'est chouette de faire un jeûne ou de faire des choses de santé pour apprendre et puis qu'est-ce que c'est agréable une fois qu'on a fait manger quelque chose qu'on aime il faut que la vie soit mobile, parce que la santé, c'est une dynamique du changement. Alors cette règle végétale vivant variée, elle est une règle complète. Elle s'applique à tous les pays du monde et à tous les habitants de la planète. Alors moi ce qui m'intéresse, c'est de dire aux gens, osez remettre en question les croyances qu'on vous a données et puis faites des expériences personnelles qui vont vous montrer ce qui est vrai ou pas pour vous. Moi c'était dans les mains que ça a apparu, enfin comme si ça continuait, l'énergie continuait, sortait de mes doigts. C'était ça, un petit peu ces premiers ressentis, après des boules d'énergie entre les mains, j'ai des exercices extraordinaires dans son livre qui nous apprennent justement conscience de cela. Et puis au fur et à mesure des méditations extraordinaires où on se sent enveloppé d'un certain nombre d'énergie, on se sent en interaction aussi avec ces énergies. J'étais naturelle assez sceptique donc je me posais la question si c'était là ou si c'était là et finalement c'était vrai ce que je vivais, c'était juste extraordinaire et donc au fur et à mesure il y a quelque chose qui s'est installé en moi, que j'ai accepté. L'esprit est tellement, mais tellement complexe, c'est une usine en fait, et on n'a pas encore vu toutes les portes qui peuvent s'ouvrir, parce qu'elles peuvent s'ouvrir. Et quand on ouvre une, par exemple celle de la visualisation, celle de... de la pensée positive ou de l'attraction, peu importe, on peut les appeler comme on veut, qu'est-ce que ça fait? Ça fait intervenir vraiment une énergie, une fréquence qui se met en place, qui se met en action et qui interagit avec la matière, avec le physique, avec le spirituel et tous les corps. Et si elle a un but, par exemple, comme les grands sportifs, ils ont des buts, les sportifs, ils sont tellement... dans la compétition, ils ont vraiment des buts. Donc on va leur dire, écoute ton genou il est cassé, il est pas bien, pense qu'il est bien et continue, finis ton match, et bien ils vont finir leur match. Ils vont le faire, ils vont créer, on va dire, une autoréparation. Ils vont le faire eux-mêmes. Ils vont se proclamer guérisseur au medium pendant un instant, sans s'en rendre compte, sans s'en rendre compte. Ils vont déployer de l'énergie, ils vont déployer une énergie environnante qui va faire que ça va se réparer. Et ça marche. Donc pourquoi pas le faire pour tout le monde et pourquoi pas le faire pour chaque jour, on va dire chaque jour de notre vie. C'est sûr que si, si ça peut aider. À la guérison ça peut aider. C'est un peu une forme d'auto-hypnose. Mais le cerveau c'est quelque chose de puissant. Ce qu'on suggère c'est vachement puissant. Quand je travaille sur quelqu'un, je me connecte sur son inconscient par la pensée. Et je demande au corps de réagir. Et je vois que ça fonctionne bien. Sugérer aux gens. il y a un problème, je veux aller sur ce problème, je veux que le corps réagisse, je veux qu'il me remette en route cette fonction-là. Je lui demande de réagir, je lui demande de créer la réaction. Sans parler à la personne. La personne ne le sait pas. D'abord quand je travaille, j'ai toujours les yeux fermés. J'ai en semi-conscience quand c'est comme ça. Je ne parle pas quand je travaille. je suis entre deux mondes. Et le gong, je le travaille. Pareil, je vais le travailler. Souvent, j'ai une main sur le sommet de la tête de la personne et je travaille dans le gong. En fonction de ce que je vais ressentir sur elle, je vais l'activer. Plus ou moins fort, plus ou moins vite. Ce qui est intéressant avec le gong, c'est que lui, c'est un tsunami. Il passe à travers. puis il va faire relâcher l'ensemble. Il faut vivre le truc. Il n'y a que quand on le vit, que là on perceva la chose. Avec du gong ou du bol, il y a certaines personnes, quand ils savent se relâcher comme il faut, on arrive à faire des montées en transe. Là, on fait ressortir, on va faire ressortir des traumatismes qui peuvent revenir, qui peuvent remonter même avant la naissance. Et là, on va faire ressortir des choses, on va faire revivre certaines choses. Donc pour les faire sortir, pour les expulser, et c'est libératoire. Et il y a des personnes qui s'en servent pour voyager, ils font des sorties de corps. Ils font des voyages. Alors ce qui est marrant, c'est que quand on arrive à ça, quand on arrive à faire une sortie de corps, on sort de notre système, c'est-à-dire qu'il n'y a plus d'espace-temps. Vous avez fait une sortie de corps pendant 30 secondes, par exemple, mais en 30 secondes, vous pouvez vivre des choses comme si vous avez vécu pendant des heures ou des mois. Il y a des gens qui se retournent, il y a des gens qui font des bronds comme ça sur le matelas, qui font le pont au complet. C'est impressionnant. Au niveau du corps, il y a des tortures, il y a des gens qui pleurent, qui crient, qui disent des choses, qui sont incompréhensibles. Des fois, c'est même pas dans la langue. On sait pas d'où ça sort, mais ça sort. Et ce qu'il y a de bien, c'est qu'à la fin, elles sont apaisées. On a enlevé un poids qui leur pourrissait la vie depuis un certain nombre d'années, et là, ils sortent. Les soins énergétiques de toute façon... Moi c'est ce que je dis souvent aux personnes qui viennent de faire des stages, je leur dis ne croyez pas qu'une fois que vous aurez fini les stages, que vous serez comme aujourd'hui en ayant simplement acquis des techniques supplémentaires. C'est quand on commence à toucher l'énergie, quand on commence à l'appréhender, quand on commence à s'apercevoir de sa réalité, quand on commence à enlever des blocages énergétiques qui sont des chocs émotionnels, dans un seul coup, ça veut dire qu'on est en train de complètement se transformer, on est complètement en train de se... ça bouleverse complètement notre vie, il y a commencé à y avoir aussi des personnes qui vont s'ouvrir. Ah ben oui, tiens, j'avais eu des choses, des pressentiments, des canaux qu'ils avaient déjà, étaient déjà présents, mais ils vont continuer de l'ouvrir, ils vont se permettre d'aller un petit peu plus loin. Donc c'est la médiumnité, c'est de comprendre un petit peu que, d'un seul coup, si on peut sortir de notre corps et que notre conscience s'en va et que le corps reste, ça veut dire que si notre conscience s'en va, ça veut dire qu'elle n'est pas dans le cerveau, c'est qu'elle est ailleurs en plus. Et donc on a aussi des preuves. quelque part indirectes, tout simplement avec les études des gens qui font des morts imminentes, les états de mort imminentes sont des gens qui sont capables de sortir de leur corps et de décrire ce qu'ils ont vu en étant sortis de leur corps, alors que techniquement, par exemple, ils étaient morts cliniquement alors qu'ils peuvent aller visiter d'autres pièces dans un hôpital et décrire ce qu'ils ont vu. Donc il y a des choses comme ça qui sont aussi des preuves pour ceux qui voudraient, ce n'est pas des preuves scientifiques mais c'est des témoignages qui sont quand même très importants également. On ne peut pas rester bloqué dans l'idée que j'ai un corps de matière, que je vais mourir et que ça s'arrête. Parce que mon corps émotionnel, mon corps mental, mon corps spirituel, c'est des corps vibratoires. Ils ne peuvent pas être morts. Ils peuvent être détruits. C'est comme si quelqu'un vous disait « Ah, le poste de télévision, je le casse et ça détruit TF1. » Les ondes sont là. Donc nous ne sommes pas des êtres de matière. Il n'y a que le corps de matière qui meurt un jour et on le rend à la terre. Mais avec le corps émotionnel, le corps mental et le corps spirituel, on continue. Notre corps physique nous permet d'être sur terre, de se véhiculer, de faire des choses et autres. On a plusieurs corps qui nous permettent aussi de ressentir les choses, de les vivre, de travailler sur nous, de pouvoir faire plein plein plein de choses, de faire plein de possibilités. Et quand on meurt, quand on part, d'ailleurs ça a été vu scientifiquement, qu'ils ont scanné une personne qui est en train de mourir. On voit une sorte d'énergie, de couleur qui est en train de partir de la personne et on voit plus ou moins tous les corps qu'il y a sur la personne, un peu comme les photos de Kilian. Il y a une énergie qui monte, de couleur rose en plus, c'est très beau, de couleur rose, qui monte, qui monte, qui monte et qui s'échappe par la bouche et qui monte. En fait depuis toute petite, je croyais en Dieu, mais je me posais plein de questions et je me demandais par rapport à la foi, par rapport à ce qu'il y a d'autre monde. Comme tous les êtres humains, je pense, se posent la question, est-ce qu'il y a autre chose à côté? Et en fait les ateliers m'ouvraient une porte vers des mondes plus subtils, des mondes qu'on ne voit pas forcément, mais des choses qu'on ressent, le monde du ressenti en fait. Tout le monde ressent, perçoit, et c'est dommage de passer sa vie à être à côté de ça. d'accéder à des choses nouvelles, d'apprendre à faire des soins, d'apprendre à faire des méditations, de voir des choses. Moi j'ai l'impression maintenant d'apercevoir clairement des messages que j'entends à différents moments de la journée. J'ai l'impression d'entendre et j'entends des messages qui sont clairs. J'avais donné un exemple une fois, je devais prendre une route que j'avais l'habitude de prendre et j'entendais, ne prends pas cette route, le chemin est barré ou ne prends pas cette route et puis je n'ai pas écouté et j'ai pris la route et effectivement à un moment la route était barrée. Donc j'ai dû faire demi-tour et là je me suis dit, je l'avais entendu, j'aurais dû écouter, voilà c'est tout. Voilà, c'est des cas un petit peu concrets comme ça. Alors au départ, c'est un peu déstabilisant, c'est perturbant. Donc on se dit c'est moi, c'est vraiment entendu, je n'ai pas entendu. Non, c'est moi qui me parle. Et au fur et à mesure, on se rend compte que voilà, c'est vraiment du concret. Donc maintenant, quand j'entends, c'est très furtif. J'essaye de capter l'info et de me dire je fais attention. On se sent peut-être un peu déphasé ou un peu pas à côté de la plaque, on va dire. Mais il y a tellement de sa chronicité, il y a tellement de choses, il y a tellement de messages de l'univers, on va dire. Il y a des messages, il y a tellement de choses qui se créent, qui se co-créent dans l'instant, que après c'est vraiment se dire on ferme les yeux et puis on n'entend plus rien, on voit plus rien, ne serait-ce que sans être medium, sans être dirigeur, sans rien du tout, il y a des messages, il y a des choses. Moi je crois en le fait qu'on attire à nous ce qui émane de nous. Si je vibre la dysharmonie, il y a plus de chances que j'attire des choses dysharmonieuses dans ma vie. Et ces choses seront quelque part le reflet de ce que je suis moi-même effectivement. Ça je crois qu'on peut le dire. Et je crois qu'on peut surtout l'expérimenter parce qu'à un moment donné il y a les croyances et puis il y a ce qu'on vit. Et dans ma pratique, une fois qu'on commence vraiment à observer les choses, on voit que si on n'a pas réglé quelque chose, on risque de l'attirer, comme des situations récurrentes qui reviennent, toujours le même type de... de confrontation avec les gens, de choses qui nous sont dites. Par contre, une fois qu'on a lâché prise, qu'on a guéri la cause qui finalement se manifestait en tant que conséquence à l'extérieur, elle ne se manifeste plus. Parce que le monde des causes est toujours en nous. Le monde extérieur, elle montre des conséquences. Si je guéris la cause, la conséquence ne se manifeste plus effectivement. notre société nous amène de plus en plus vers la peur. Vers la peur de la crise, la peur du chômage, la peur de manquer, la peur de la guerre, la peur des attentats, la peur, la peur, la peur et tout ça, ça nous tire vers le bas. Et c'est pour ça que la plupart des personnes de mes concitoyens sont si mal à l'aise et qu'en fin de compte, ils se retrouvent tiraillés entre des sentiments inconscients qui les attirent vers le haut et puis ce qu'ils vivent, ce qu'on leur montre au quotidien et qui les tire vers le bas. Et puis on voulu leur donner un journal qui est... qui vous redonnent encore un petit coup en vous disant les augmentations qu'il va y avoir ou les risques de guerre ou d'attentats, c'est pas fait pour remonter votre niveau vivatoire. Et le problème c'est que la personne, quand elle a peur, elle va vibrer la peur. Et elle va tirer des circonstances qui lui donneront raison d'avoir eu peur. Elle va dire « ah ben j'avais raison d'avoir peur puisque ça s'est manifesté » sans savoir que c'est elle qui a produit la chose, qui l'a attiré. Alors effectivement si on a peur, il faut aller voir pourquoi on a peur. On a souffert du manque quand on était plus jeune. Peut-être qu'on a hérité de mémoire aussi au niveau du manque. Nos ancêtres ont manqué et puis on a hérité de cela. Mais c'est pas parce qu'on l'a hérité ou qu'on a vécu ça dans l'enfance qu'on doit vivre avec toute sa vie et qu'on doit attendre que ça se compense à l'extérieur pour ne plus être dans ces sensations de manque. Souvent les gens, justement, attendent que ça change à l'extérieur pour être dans le bonheur, dans la joie. Et du coup, ils conditionnent leur état d'être aux circonstances extérieures. Et ils perdent leur pouvoir. Ils donnent leur pouvoir au monde extérieur aux autres. la méditation, dans la voie spirituelle en général, on va se réapproprier notre pouvoir par la prise de notre responsabilité pleine et entière dans ce qu'on crée. Si on se croit victime et qu'on croit que les solutions vont venir de dehors, eh bien on est dans la souffrance et la dépendance. Si on dit « je suis responsable, je prends ma vie en main », alors on va pouvoir apprendre à gérer son corps physique, son corps émotionnel, et on entre dans une dynamique de la responsabilité. Et ça, c'est ce qui fait peur à beaucoup de gens, ils sont des assistés. Ils ne veulent pas se prendre en main. Mais moi ce que j'aime et que j'admire, c'est que dès que quelqu'un prend sa vie en main, il commence à devenir un créateur. C'est pour ça qu'à un moment donné, il faut accepter la responsabilité de ce qu'on a créé. Après, c'est une question aussi de foi. Est-ce que j'ai foi en mon pouvoir créateur ou est-ce que j'y crois pas du tout? Après, on rentre dans les croyances. Il y a des gens qui ne vont pas y croire et ce sera peut-être juste pour elles au niveau de leurs croyances qu'elles continuent d'expérimenter le manque, la souffrance et qu'elles se positionnent constamment en victime. Si elles font ce choix-là... elles ont le droit mais elles vont subir les conséquences, c'est sûr. On n'a pas besoin de souffrir pour apprendre. Moi je suis partisan de ne pas souffrir pour apprendre. On souffre assez pour après se dire avoir une expérience de la vie qui arrive puisque il faut grandir, il faut passer à notre stade de notre vie. C'est sûr que la maladie est là pour nous faire comprendre les choses. Mais justement, de se prendre en charge, d'être responsable, on va dire, spirituellement responsable, écologiquement responsable, holistiquement, va nous permettre de ne pas avoir accès à ces expériences qui sont si mauvaises, en fait, puisque souffrir pour comprendre les choses, c'est horrible. Moi je crois qu'il y a une période d'ouverture, parce qu'il y a de plus en plus de gens qui souffrent. Et la souffrance est un déclencheur. C'est comme si elle nous fichait un coup de pied aux fesses, qu'on dirait qu'il y a quelque chose qui ne va pas, il faut changer les choses. La souffrance est désagréable, puis en principe on n'aime pas ce qui est désagréable. Donc on va chercher à trouver des solutions. Et parmi ces solutions, il y a la méditation, il y a le développement personnel, il y a la spiritualité au sens large. la sophrologie, la relaxation, l'hypnose, tout ça ce sont des outils qui sont mis au service de ce retour à l'harmonie. Là il va y avoir aussi une révolution en médecine très prochainement et ce sera une révolution très technique avec des possibilités, on va faire rentrer l'informatique au niveau des yeux, des oreilles etc. donc qui va permettre de transformer beaucoup de patients qui sont gravataires, ce sera merveilleux de ce côté là, on est capable de faire des choses par rapport à la... Avec les cellules souches, on va créer des organes, des tissus, etc. Avec les nanoparticules, on peut pénétrer à l'intérieur des cellules. Il y a plein de choses qui sont en train de se développer d'un autre côté. Mais de l'autre côté, il y a les capacités de l'être humain qui deviennent de plus en plus fortes. C'est pour ça que cette notion est vraiment très intéressante. La puissance de notre pensée est très forte. Or, aujourd'hui, on voit bien que dans notre société, on a une société qui est quand même très militarisée, très policière, très surveillée, etc. Moi, quand je suis à Paris, de temps en temps, je vois des manifestations avec 50 personnes et il y a déjà 10 cartes de CRS autour d'eux. Je veux dire, c'est des choses qui sont complètement d'un autre âge, je dirais, quelque part maintenant. On n'est plus sur... On n'a plus à monter sur les barricades parce que tout simplement, la puissance de notre esprit peut changer notre environnement. on peut essayer de faire taire des gens. Mais il y a un jour, quand il y en a trop qui s'éveillent, on ne peut plus bloquer le mouvement. tous ces murs qui nous ont emprisonnés dans des croyances de stress, ça va tomber. Je peux vous dire que depuis 45 ans que je suis ça, c'est ce qu'on appelle une courbe exponentielle. Il y a eu quelques personnes qui ont pensé différemment. Et puis maintenant, tout d'un coup, cette courbe, elle monte. Ça veut dire que tout d'un coup, la croyance sociale change. Aujourd'hui, il y a de plus en plus de gens dans la recherche classique et dans toutes les disciplines qui se rejoignent et qui disent exactement pareil. La physique quantique, c'est une physique de la conscience. Et il y a beaucoup de gens comme Deepak Chopra ou d'autres qui sont justement des gens qui font le pont et qui montrent qu'il faut arrêter d'opposer la science avec la spiritualité. Ce sont toutes des approches qui vont vers la même chose. Et la conclusion de tout ça, c'est de savoir qui nous sommes. Si je crois que je suis un être de matière avec un cerveau gauche seulement qui fonctionne, j'ai une vie limitée. Si je m'ouvre... je comprends mon corps physique, mon commissaire, mon commentaire, et je m'ouvre au spirituel, j'entre dans une vie de plus en plus joyeuse, agréable. Et c'est ça le but. C'est qu'on crée une humanité consciente, libérée de toutes les folies et de tous les dogmes du passé. La voie spirituelle, c'est aussi apprendre à reconnaître le vrai du faux, l'illusion de la vérité. Et pour ça, il faut du discernement. Et ce n'est pas en lisant des livres qu'on va obtenir ce discernement. C'est en faisant des expériences et en faisant confiance à notre petite voie, en allant à l'intérieur de soi, en observant, en reconnaissant notre fonctionnement, etc. C'est une observation de soi. Connais-toi toi-même. Tout est résumé là dans ces quelques mots. Connais-toi toi-même.

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