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French Script Request

Violeta
Incomplete
by Laura123 2:28 - 10:10

"- Chocolat chaud et brioche pour Monsieur le Marquis.
-Tiens, le rideau se lève. Enlevez votre cageot, il faut vous nourrir.
- De la pierre, pipi de chat.
- Le petit déjeuner ordinaire de la maison. Vous savez parfaitement ce qu'il faut faire pour avoir droit au spécial.
- Je me contenterai donc de l'ordinaire.
-Cessez de me provoquer en suçant ce vieux crouton. Pourquoi vous obstinez vous à refuser mes langoustes ? Je ne dors plus. Depuis que je t'ai vu retirer ta chemise au greffe. Ah, j'aime ton corps souple et dur à la fois.Prends moi! Prends-moi!
- Tu me répugne Ambert. Ce que tu n'as pas réussi a obtenir par le chantage, tu n'aura pas par les sentiments. Geôlier, ayez du plaisir à quitter ma cellule. Et n'oubliez pas les os sales.
-Ah, Ah, je ne suis pas assez bien pour toi. Demain, plus de brioche!
- Je ne suis pas tranquille. Où on ira quand on sera sortis ?
- Ha Ha, voilà ce que le gouverneur voudrait bien apprendre.
- Je n'ai jamais trahis personne. Vous savez que dans le marais, on m'appelais (pigounou ?) la tombe.
- Et Zéphyr, Delcourt ? Tes complices de la bande du coeur de fer. C'est bien grâce à toi que j'ai pu les envoyer en galère.
- Faites excuses mon lieutenant général. D'accord, j'étais peut être votre indicateur dehors, mais je ne serai jamais un mouton.
- Tais-toi et suce!
- Tenez, en voilà encore une de prête. Crénom! Elle était bonne celle-là.
-Qu'est-ce que tu attends pour prier ?
- Une seconde. Je prends l'almanach mon lieutenant Général. Saint Gérard, priez pour nous. Saint François d'amis, priez pour nous. Saint Bruno, priez pour nous. Saint Frément priez pour nous.
- Passe moi la "Maonaise" et prie plus fort. Ambert va nous entendre.
- Saint George priez pour nous. Saint Denis priez pour nous. Saint Denis, priez pour nous. Sainte Thérèse priez pour nous, Saint Baudouin priez pour nous."

"- C'est impudique, et trop fortement proportionné, et la nature se révolte en moi, au seul soupçon de ces plaisirs.
- Depuis que tu n'en a plus, il te font peur les plaisirs ?
- Tu n'es pas Colin. C'est mon héroine qui parle. Celui auquel elle a à faire est trop fortement membré pour l'orifice qu'elle a choisi.
- Il es plus joufflu que moi alors ?
- Oh oui. Pour toi ce serait un jeu d'enfant. Il ne peut vaincre des obstacles. A peine se présente-t-il qu'il est aussi tôt repoussé. Il écarte, il presse, il déchire.
-Tu mets trop de verbes à la queue leu leu.
- Ne te mêle pas du style. J'accepte que tu me donne des idées de temps en temps, mais c'est moi qui écrit.
- Bon bon, je ne dirai plus rien. Mais tu mets trop de verbes.
- Les chairs ramollies se prêtent, le sentier s'entrouvre, le bélier pénètre.
- Le Bélier ? Il y a un Bélier maintenant ? D'où il vient celui là ?
- Une image. Le bélier pénètre. Je pousse des cris épouvantables. Aussitôt, la masse entière est engloutie. Et la couleuvre, lançant aussitôt un venin qui lui ravit ses forces, cède enfin en pleurant de rage.
- Oh, arrête, tu m'excites."

"-Voici le confesseur que vous réclamez.
-Oh mon père, je suis la plus misérable des créatures, une pécheresse vouée aux flemmes de l'enfer.
- Ne désespérez pas de la clémence divine ma fille.
-Confessez moi vos pêchers.
-J'avais retiré mes vêtements, un par un pour prendre un bain dans la rivière.
- Un instant.
- Tandis que les trois autres me... au sol, un quatrième gentilhomme, le visage dissimulé par un masque abusait de moi de toutes les façons possibles.
- Pas si vite mon enfant. Comment ont-ils commencé ? Par ici ? Par là?
- Par derrière.
-Quelle mocheté me racontez vous là ? J'ai besoin de détails mon enfants. Est-ce que vous aviez gardé votre petit linge intime ?
- Ma foi..
- Vous l'aviez arraché, déchiré peut-être ?
- Troué. Il m'a prise à travers la dentelle mon père. "
"- Tiens, fouille merde! La servente de la ferme. Pisse dessus et ca brillera mieux. Fouille merde!
- Bande d'ivrognes! Allez prendre votre tour de garde.J'vous dénonce au gouverneur"
"- Mais... pendant que ce monstre vous déflorait, à quoi s'occupaient dont les autres ? Vous mordillait-ils les seins ?
- Non. Non, ils n'auraient pas osé. Ils étaient à son service.
- A son service ?
- C'est que...c'était le roi.
- Vous êtes folle! Vous délirez!
- Non hélas! Quand son masque a glissé, je l'ai immédiatement reconnu : son double menton, son gros nez. Il s'agissait bien de sa majesté. Sinon, pourquoi m'aurait-il fait embastiller par lettrer de cachet ?
- Prétentieuse et menteuse. Prenez garde! On ne plaisante pas avec la clémence divine.
- Il y a plus grave mon père.
- Qu'allez vous encore inventer ?
- Je suis enceinte de ces oeuvres. L'enfant du roi va naître en prison."
"- Jusqu'ici mon ami, j'ai été un vaux rien. J'ai couru les "bouté" j'ai fait le difficile. A présent la vertu rentre dans mon, dans mon...
- Coeur !
-A présent La vertue rentre dans mon coeur. Je ne veux plus foutre que pour de l'argent.Je vais m'afficher, étalon juré des femmes sur leur tour, je leur apprendrait à jouer du cul haletant par moi.
- Non, Non. Tu déclames ma pièce comme si tu lisait l'almanach. Et le jeu de scène ? Aux oubliettes ?
- Je fais ce que je peux. Je ne suis pas un professionnel.
- Je sais. Mais tu es le seul interprète que j'ai sous la main alors applique toi.
-Refais moi la fin comme à la répétition d'hier. Quand tu dis "à jouer du cul" il faut que tu ondules. Comme ca."

by lilili83 10:10 - 12:26

- Entendu. A condition que tu m’inventes une histoire plus excitante après.
- Marché conclu.
- Je vais m’afficher talent juré des femmes sur le retour et je leur apprendrai à jouer du cul à tant par mois.
- Parfait, continue.
- Mais il me semble déjà voir une dondon, qui n’a plus que six mois à passer pour finir la quarantaine m’offrir la molle épaisseur d’une ample fr...
- Chut ! Allez en coulisses, dans la calotte.
- Gaétan de Préaubois, Gouverneur de la Bastille.
- Laissez-nous Lambert.
- Monsieur le Marquis, ravi de vous rencontrer. On m’a beaucoup parlé de vous.
- Voilà 628 jours que je réclame cette entrevue. Le gouverneur avait certainement d’autres chats à fouetter…
- Je craignais de vous déranger. L’un des avantages de la prison n’est-il point de pouvoir échapper aux fâcheux ? Et aux importuns ? Que puis-je pour vous ?
- Eh bien pardi, me rendre la liberté !
- Cela outrepasse les limites de mes compétences.
- Expliquez-moi au moins pourquoi je suis ici.
- Comme si vous l’ignoriez… Vous ne vous souvenez pas avoir fait là où vous ne deviez pas faire ?
- Non.
- Ceci vous rafraîchira la mémoire.
- Qu’est-ce ?
- La pièce à conviction numéro 1. A vue de nez, y’en a pour trente ans là-dedans !
- Ce n’est pas la mienne, il s’agit d’une erreur judiciaire.
- Pièce à conviction numéro 2. « Monsieur le Chef de la Police, Le délit ci-joint a été commis sous mes yeux par un certain marquis, chien notoirement rétif, qui, malgré sa race, prend un malin plaisir à saper les fondements de la religion et de la société. Il convient de l’embastiller pour l’empêcher de nuire. Signé : Un ami qui vous veut du bien. »

by lilili83 12:26 - 12:57

- Vous vous contentez d’une dénonciation anonyme ! Elle est belle votre justice.
- Continuez sur ce ton et vous récoltez 20 ans de plus !
- Il s’agit d’une machination !
- Passez aux aveux complets. Livrez-moi le nom de vos complices. A mon avis, vous n’étiez pas seul.
- Je suis innocent. La prison ne me fait pas peur ! Vos lois sont scélérates. Et même à l’intérieur de ces murs, je continuerai à m’y opposer.

by lilili83 12:26 - 12:57

.

by lilili83 12:57 - 16:09

- Comme il vous plaira. Réfléchissez !
- Entre nous, c’est toi qui l’as faite ?
- Si je devais me rappeler tous les crucifix que j’ai conchiés. Une prise de position purement poétique !
- Lourde de conséquences !
- Que veux-tu, je dénie à la société le droit de régir ma nature puisque moi-même je refuse d’asservir mes passions et mes envies.
- Tu aurais quand même pu me prévenir.
- Le sexe n’est pas le cul. Quand la main droite ignore ce que fait la main gauche, elles ne sont pas tentées d’applaudir servilement à tout propos.
- Inutile de m’attendre, je rentrerai à pied.
- Ah, ne vous avais-je point dit que je ne désirais plus vous voir ?
- Oh, Juliette, de grâce ! Une dernière fois !
- Pouah ! Quelle haleine ! Vous puez du bec et répandez une odeur de fornication.
- Mon amour, acceptez ce petit cadeau.
- Vous ne pensiez tout de même pas acheter Juliette de Titane avec ce bijou de pacotille ?
- Bah il m’a coûté 5000 écus !
- L’argent ! Toujours l’argent ! Répugnant personnage ! Vous salissez tout. Qui plus est, vous avez mouillé le tapis !
- Oui, je sais. Punissez-moi !
- Enlevez vos bottes. Montez sur la chaise. Baissez vos culottes.
- Oh non, pas les culottes, Maîtresse !
- Si ! Et plus vite que ça ! Pauvre petite chose triste !
- Oh oui, oui, plus fort ! Oh oui, oh oui, oui ! Mais mords-moi plus fort, nom de dieu, jusqu’au sang ! Oui, oui , oui et comme ça. Oh ! Oh continue ! Ah je viens ! Oh oui, c’est bon ! Cocorico ! Cocorico !

by GiuDid 16:09 - 21:57

- Saints défunts, priez pour nous. Saint Hubert, priez pour nous.
- La ferme ! Ca suffit ! Regarde ! La porte est ouverte.
- Alors, vous allez prévenir vos amis ? On met les bougies à la fenêtre ?
- Chaque chose en son temps. Tu as fini l'escalier ?
- Un étage... Deux étages... Trois étages... Et... deux marches.
- Tu vois il manque au moins cinq mètres !
- Plus de munitions, mon lieutenant.
- Ambert ! Ambert ! Le sire Pigonou a besoin de se confesser d'urgence !

- La fille Justine prétend être grosse des oeuvres de sa Majesté, et j'ai toutes les raisons de la croire.
- Je coupe et j'empoche.
- Une veine de cocu, Préaubois. Branlez les cartes.
- Fâcheuse nouvelle si la populace venait à apprendre la conduite du Roi en cette affaire. Le scandale attiserait le mécontentement général.
- L'arrivée d'un bâtard achèverait de ruiner la réputation du régime. Je double la mise et j'écarte.
- Tenu, sans écarter.
- J'ai une idée.
- Et moi: une paire de couilles !
- Il suffirait de faire violer Justine par ce débauché de Marquis, de s'arranger ensuite pour que l'opinion publique l'apprenne. Et à la naissance de l'enfant, tout le monde croira qu'il en est le père.
- Vous me paraissez plus fort en politique qu'aux cartes, l'Abbé.
- Entrez !
- Faites excuses, Monsieur le gouverneur. Pigonou réclame encore Don Pompero.
- Toucherions-nous au but ? Enfin, nous allons connaître la raison de la disgrâce de Lupino.
- Au Procope on parlait de simple corruption, mais moi on ne m'ôtera pas de l'idée qu'il est mêlé à une conspiration.
- Plus que probable. Le roi n'enferme pas sans raison le chef de sa police. Mais je vous le dis tout net Pompero, si cette fripouille de Pigonou n'éclaire pas nos lanternes, à quoi bon continuer à l'entretenir ? Je le fous dehors.

- Vous allez devoir vous serrer, je vous amène de la compagnie.
- Peine perdue, Ambert. Je ne te céderais jamais, même si tu réduis mon espace vital de moitié.
- Faites comme si je n'étais pas là.
- Que me voulez-vous encore, Lupino ?
- Je ne fais que passer, le temps que le citoyen Pigonou se mette à table.
- Je vous entends mal. Un citoyen qui se met à table, et ce n'est pas vous qui menez l'interrogatoire ?
- Le chef de la police qui a procédé a votre arrestation n'est plus qu'un pauvre détenu, comme vous.

- Je m'accuse, mon père, d'avoir été trafiquant de charcuterie. Vous savez ce que c'est, on commence seul, par quelques rondelles, au marché noir. Et puis, on devient maillon de la chaîne.
- Vous m'avez déjà confessé cette faute. Et Notre Seigneur, dans sa miséricorde, vous l'a pardonné. Venez-en à Lupino.
- Le Seigneur ne savait pas que le jambon était baptisé, coupé à l'eau. Voleur et menteur !
- Comme tout le monde. Même pas des péchés capitaux ! Enfin, vous savez très bien qu'on n'est pas là pour ça.
- Attendez, je ne vous ai pas raconté ce qu'il s'est passé quand les revendeurs s'en sont aperçu.

"- Oh non, non ! Pitié ! Ne me saignez pas !
- Donne nous du jambon frais, pas de la camelote !
- Coeur de Fer n'en a plus en ce moment. Et les fermiers ont saisi l'arrivage.
- Ici même, tu as du premier choix.
- Non, je vous jure. Vous pouvez me fouiller !
- Et ça ?
- Ma cuisse ?
- Ouais ! Tu vas nous la servir, et en vitesse !"

- J'ai certainement dû commettre d'autres crimes abominables.
- Oh, cessez de parler de vous ! Je vous ai déjà donné une absolution générale ! Je vous certifie pur porc !
- D'accord, je suis pur porc. Mais je ne suis pas casher.
- Oh ! Tu mélanges tout, ignare ! Heureusement que tu n'es pas casher !
- Mais alors... je ne recevrai pas mes 24 chapelets et mes 12 crucifixes ?
- Tiens. Et ce n'est pas par charité chrétienne. La prochaine fois, si tu ne nous révèles pas le secret de Lupino, tu retournes dans le marais ! Et tu t'expliques tout seul avec la bande à Coeur de Fer.
- Oh, pitié ! Mon Père ! Je ferai mon possible, mais il se méfie de moi. Après tout, je ne suis qu'un pauvre droit commun, et lui, pas n'importe quel prisonnier politique.

by cheeriest_hydra 21:57 - 25:30

-Eh, que diable vous reproche-t-on?
-D'avoir infiltré sur ordre le Club des citoyens patriotes de la Rive Gauche et d'avoir succombé à leur idéale subversif pour l'amour d'une femme.
-Comme les tempes changent!
-Il faut aider les proletaires en ce royaume à la bourgeoisie au pouvoir. C'est notre seule issu.
-Je ne suis ni proletaire ni bourgeois. Je n'ai pas d'argent. Je n'ai jamais planté un clou.
-Un libertaire libertin, je sais. Vous n'avez ni foi ni loi, ni dieu, ni maître. D'ailleurs je...je n'ose même pas vous parler du petit service que vous pourriez rendre à la nation.
-Dites toujours.
-J'ai le projet de m'évader pour organiser le combat révolutionnaire sur le terrain. Vous seul pouvez m'aider.
-De...quelle manière?
-En cédant aux avances du porte-clé. On m'assure qu'il est amoureux de vous.
-En somme, vous me proposez d'enculer quelqu'un au nom de la liberté?
-Exactement! Vous contribueriez ainsi à jeter à pas ce régime que nous exécrons maintenant autant l'un que l'autre.
-Taisez-vous.
-Ils sont difficiles à attraper cette année.
-J'ai toujours préféré les plumes au croupion.
-Je comprends vos scrupules et vous accorde que la sodomie est un crime contre nature. Toutefois, pour la noble cause...
-La seule noblesse que je ne connaisse tient à ma particule corporelle, qu'il me faut d'ailleurs consulter démocratiquement car elle est parfois d'humeur capricieuse.
-On vient! Les masses populaires comptent sur vous. Avant de faire la belle, je frapperai comme ceci contre le mur. Appelez Ambert par ce signal. Tout dépend de vous!
-Tout dépend...de lui.

-Les aristocrates à la lanterne...
-Tiens!
-M-mort aux tirans!
-Tiens! tiens!
-Ouïe! Oh!
-Vive la révolution!
-Oh! Là, vous dépassez, monsieur! À la Bastille!
-Ah non, de grâce maîtresse, pas la Bastille!
-Si! Voyons... où vais-je vous enfermer? Dans cette grande tour?
-La Bazinière? Ah non, c'est le quartier des femmes.
-Alors, dans celle où trois bougies brillent à la fenêtre?
-La tour Berthaudière? 'Y a plus de place.
-Qui s'y trouve?
-Oh, non! pas les barbillons, non! Aïe! Non! non! non! Aïe! Je dirai tout! Un truand, un conspirateur...et un détraqué.
-Je vais vous enfermer avec le conspirateur.
-Non! Lupino partage déjà la cellule de Pigounou. Et je ne veux pas aller avec Marquis. Il n'est pas normal, il m'effraye.
-Alors, dans celle du milieux.
-Occupée par la garnison.
-Combien d'hommes?
-Je ne sais pas, je ne sais plus... eh! oh! oh! ak! Douze!

by Mlniqua 25:30 - 27:28

- Fais moi faire ma gymnastique.
- J'ai autre chose à te proposer.
- Quoi ?
- Ambert.
- Ah non, on avait convenu de ne plus en parler.
- La situation à changée. Il ne s'agit plus de te dévouer uniquement pour améliorer notre ordinaire, mais pour faire une bonne action.
- Toi ? Une bonne action, tu m'étonnes.
- Favoriser l'évasion de celui qui est responsable de tous nos malheurs, faire sortir celui qui nous en enfermé, n'est-ce point là de la grandeur d'âme ?
- J'accepte.
- Sans même discuter ?
- En discutant, donnant-donnant.
- Il y a longtemps que j'ai envie de dépuceler le mur d'en face.
- Qu'est ce que tu lui trouves ?
- Regarde, à gauche, légèrement vers le bas.
- Votre dieu.
- Crénom ! La belle guésarde.
- Elle ne vaut pas celles qui sont dehors, mais on va la baiser.
- Tu n'y penses pas, des fentes ça coupe.
- On la pénètre ou je refuse d'approcher Ambert.
- Je te cède, mais ne viens pas pleurer après.
- Toutes mes excuses, Madame, mais, c'est pour le petit. il n'en peut plus.
- Voilà où conduit l'abstinence. Vous répandez votre précieuse semence contre le mur, comme de l'urine courante.
- Vous ne pourriez pas frapper avant d'entrer? J'ai ma vie privée.
- Privée de tout, je le reconnais.
- Ne désespérez pas, notre mère, la sainte église, comprend. Bien que vous ayez toujours refusé la confession.

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