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rhinoisangry
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rhinoisangry
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tnarundayo
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  • Les Simpson ( recorded by wacissa ), French from France, mostly standard but my vowels can sound a bit Southern

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    Les Simpson (The Simpsons) est une série télévisée d'animation américaine créée par Matt Groening, et diffusée depuis le 17 décembre 1989 sur la Fox et depuis le 22 décembre 1990 sur Canal+ et W9.

    Elle met en scène les Simpson, stéréotype d'une famille de classe ouvrière. Leurs aventures servent une satire du mode de vie américain. Les membres de la famille, tous jaunes de peau, sont Homer, Marge, Bart, Lisa, Maggie et Abraham.

    Depuis ses débuts, la série a récolté des dizaines de récompenses, dont vingt-quatre Primetime Emmy Awards, vingt-six Annie Awards et un Peabody Award. Le Time Magazine du 31 décembre 1999 l'a désignée comme la meilleure série télévisée du XXe siècle et elle a obtenu une étoile sur le Walk of Fame de Hollywood le 14 janvier 2000. « D'oh! », l'expression d'abattement d'Homer Simpson, est entrée dans la langue anglaise. L'influence des Simpson s'exerce également sur d'autres sitcoms.

    En 2007, Les Simpson, le film, un long métrage basé sur la série, est sorti au cinéma et a recueilli 527 millions de dollars américains en recettes brutes.

elecha
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  • DÉJEUNER DU MATIN ( recorded by carburante ), parisien

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  • DÉJEUNER DU MATIN ( recorded by ces82000 ), standard

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    DÉJEUNER DU MATIN

    Il a mis le café
    Dans la tasse
    Il a mis le lait
    Dans la tasse de café
    Il a mis le sucre
    Dans le café au lait
    Et il a reposé la tasse
    Sans me parler
    Il a allumé
    Une cigarette
    Il a fait des ronds
    Avec la fumée
    Il a mis les cendres
    Dans le cendrier
    Sans me parler
    Sans me regarder
    Il s'est levé
    Il a mis
    Son chapeau sur sa tête
    Il a mis
    Son manteau de pluie
    Parce qu'il pleuvait
    Et il est parti
    Sous la pluie
    Sans une parole
    Sans me regarder
    Et moi j'ai pris
    Ma tête dans ma main
    Et j'ai pleuré.

scottscheule
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Nard
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  • Cinder ( recorded by thomaup ), standard French

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  • Cinder ( recorded by JollyjulyPrincesse ), unspecified accent

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    Il était une fois un gentil monsieur qui avait une charmante fille, douce, belle, et très obéissante. Malheureusement, sa femme, la mère de sa petite fille, était morte, et il avait donc décidé de se remarier. Il choisit une femme très jolie, veuve, qui avait déjà deux filles. « Comme cela, ma fille aura une nouvelle maman, et deux sœurs en plus ! pensait-il ».

    Il se remaria donc, mais mourut la même année, laissant sa jeune fille à la garde de sa belle-mère. Mais cette femme était très méchante avec elle. 

    La pauvre enfant devait faire toutes les corvées de la maison ; c'était elle qui faisait les courses, qui allait au marché le matin et devait ramener toutes les provisions à la maison toute seule. Et puis elle faisait la cuisine, faisait la vaisselle, rangeait toute la maison, nettoyait tout le linge de ses sœurs et de sa belle-mère... elle s'occupait aussi de tous les animaux de la maison ; donnait a manger aux poules, au chien, aux chats et au cheval. 

    Sa belle-mère lui avait même pris sa chambre et y avait installé une de ses filles, et notre héroïne dormait maintenant au grenier, sur un mauvais lit de paille. Sa belle-mère lui avait retiré ses jolis vêtements, lui avait donné à porter des habits de servante, et comme elle se tenait toujours près de la cheminée de la cuisine et que ses habits étaient salis de cendre, ses chipies de sœurs la surnommaient Cendrillon.

    Et pourtant, malgré tout cela, Cendrillon restait toujours gentille et aimable, douce et jolie, et faisait tout son travail sans se plaindre, de bon cœur.

    Un jour, le roi annonça qu'il voulait marier son fils, le prince, et qu'il organisait un grand bal et invitait toutes les jeunes filles en age d'être marié. 

    La nouvelle provoqua une grande excitation dans la maison de Cendrillon : « Cendrillon ! Apporte moi ma nouvelle robe ! » « Cendrillon ! Va me chercher mes plus beaux bijoux ! » « Cendrillon ! Aide-moi avec mon corset ! » « Cendrillon ! viens me coiffer ! ». 

    « Allez Cendrillon, disait sa belle mère, il faut que mes filles soient les plus belles de la région ». 

    Et Cendrillon, gentiment, aidait ses sœurs du mieux qu'elle pouvait. 

    Une de ses sœurs, la plus méchante, lui dit « Et toi Cendrillon ? N'as-tu pas envie d'aller au bal ? » Le visage de Cendrillon s'illumina d'espoir : « Moi ? Au bal ? mais... oui, bien sur, ça serait fantastique ! » En l'entendant, ses sœurs et sa mère éclatèrent de rire ; « Toi ? au bal du prince ! Mais voyons Cendrillon, tu serais ridicule ! Regarde-toi ! Tu es sale, et si mal habillée ! » Mais la pauvre Cendrillon voulait tellement aller au bal, elle dit « Mère, je vous en prie, laissez moi aller au bal ». Toujours en se moquant, sa belle-mère lui répondit ; « Si tu as fini toutes tes corvées ce soir, peut être ». 

    Alors, toute la journée, Cendrillon travailla très bien et très vite ; elle finit tout ce qu'elle devait faire dans la maison, plus tout ce que ses sœurs lui avait ordonné de faire pour le bal, elle lava sa plus jolie robe et la décora de rubans roses et de petites fleurs du jardin, frotta bien ses mains et son visage, et se fit une simple mais jolie queue de cheval. 

    Lorsque l'heure de partir au bal arriva, ses sœurs et sa mère se préparaient à monter dans leur carrosse, Cendrillon descendit en courant de sa chambre au grenier ; « Attendez-moi ! Attendez-moi ! ». Elle arriva devant sa belle-mère ; même avec sa coiffure simple et ses habits de paysanne, elle était naturellement belle, et bien plus jolie que ses sœurs avec tous leurs habits extravagants et leurs visages poudrés. Sa belle mère devint furieuse ; elle s'approcha de Cendrillon et crack !! Déchira sa robe. « Ma pauvre enfant, dit-elle, ta robe était si mal faite ; j'ai voulu remettre un ruban à sa place et voici que toute ta robe est déchirée... Tu ne peux pas aller au bal comme ça. Va donc te coucher, nous te verrons demain. »

    La pauvre Cendrillon monta dans sa chambre en pleurant.
    « Bouhouhou.... C'est vraiment trop injuste. Je fais tout ce que je peux pour ma mère et mes sœurs, c'est moi qui fait tout dans la maison, et elles sont si méchantes avec moi ! Je voulais tellement aller au bal... bouhouhou... »

    Tout d'un coup, elle sentit une douce main sur son épaule, et elle entendit une gentille voix lui dire : « Ne pleure pas mon enfant ». Quand Cendrillon releva les yeux, elle vit une belle dame, debout, à côté d'elle.
    - « Mais qui êtes-vous ? » dit Cendrillon, en séchant ses larmes.
    - « Je suis la bonne fée, ta marraine ». J'ai vu tout ce qui s'est passé, et je vais t'aider. Tu veux aller au bal du prince ? »
    - « Oh oui, dit Cendrillon, plus que tout au monde ».
    - « Alors, il te faut un carrosse, dit la fée. Va me chercher une grosse citrouille dans le jardin. »

    Sans comprendre pourquoi, Cendrillon obéit. Elle posa la citrouille devant la fée qui d'un seul coup de baguette magique, la transforma dans le plus jolie carrosse que l'on puisse imaginer. Puis elle dit à Cendrillon ; « Va me chercher quelques souris ». Cendrillon revint bien vite avec 6 petites souris grises. Une fois de plus, la fée fittourner sa baguette, et transforma les souris en 6 magnifiques chevaux gris. Puis, en voyant le gros cheval de la maison, la fée dit ; « Tu feras un cocher parfait » et pouf ! Elle le transforma et le cheval se retrouva assis en haut du carrosse, dans un superbe habit d'argent.

    « Ma douce, dit la fée, souviens toi bien d'une chose ; tu as jusqu'à minuit, et minuit seulement, pour profiter de ma magie. Au dernier coup de minuit, le carrosse redeviendra citrouille, les chevaux souris, et le cocher cheval. Tu as bien compris ? »

    « Oui, Marraine, dit Cendrillon. Merci, merci ! »

    « Alors, va vite mon enfant ! » dit la fée.

    « Euh... Marraine ? » dit Cendrillon en montrant sa robe de servante. 

    « Qu'est-ce qu'il y a ? » dit la fée. « Ah !!!! mais oui, bien sur, ou ai-je la tête ! » Et la fée agita une dernière fois sa baguette magique au dessus de la tête de Cendrillon, qui fut enveloppée dans un nuage tourbillonnant . Sa robe se changea en la plus jolie robe du monde ; couleur de l'arc en ciel, couverte de diamant et de pierres précieuses. Ses cheveux se coiffèrent en un magnifique chignon, et à ses pieds minuscules, deux charmants souliers de verre, les plus délicats et confortables qu'il soit, apparurent.

    « Oh ! Madame... merci, merci ! » dit encore Cendrillon, qui n'avait jamais rien vu de plus beau. 

    « Garde tes sourires pour le prince » dit la fée, « amuse toi bien et surtout, n'oublie pas, rentre avant minuit !» Et paf... la fée disparût dans un nuage d'étoiles.

    Cendrillon sauta dans son carrosse, et arriva au château, et dès qu'il la vit, le prince en tomba amoureux. Il l'invita à danser ; elleétait tellement belle et gracieuse que tout le monde s'arrêtait pour les regarder. Puis il l'invita à dîner ; ses manières étaient élégantes, et elle insista pour partager avec tout le monde les friandises que le prince lui proposait. Puis, ils allèrent se promener dans le jardin ; elle était intelligente et drôle, et plus le prince passait de temps avec elle, plus il était amoureux.

    Mais tout d'un coup « dong.... » 
    - « Mon Dieu ! » dit Cendrillon, « est-il déjà minuit ? Je dois partir, excusez-moi, au revoir » et elle se mit à courir vers son carrosse. 
    - « Mais qu'est-ce qui se passe ? » dit le Prince qui ne comprenait pas. « Où allez vous ? » 
    - « Au revoir, au revoir, merci ! » dit Cendrillon en courant. 
    - « Mais, mais... » dit le prince, « Attendez ! je ne connais même pas votre nom !! » et il se mit à courir derrière elle.

    Elle arriva à son carrosse, mais en montant, elle perdit une de ses petites chaussures de verre ; trop tard pour la ramasser, le prince arrivait en courant. «Fouette cocher !» cria Cendrillon, et ses 6 chevaux s'élancèrent dans la nuit, trop vite pour que le prince puisse les retenir. Sur le sol, il remarqua la minuscule chaussure de verre qui brillait dans la nuit. Et il eut une idée.

    Le lendemain, le roi fit annoncer que toutes les jeunes filles de la région devaient essayer cette chaussure. Lorsque le serviteur du roi arriva chez Cendrillon, sa belle mère et ses filles l'attendaient avec impatience ; 
    - « Ma chaussure ! » dit l'aînée, « Comme c'est gentil de me l'avoir rapportée... » 
    - « Mais non ! » dit la cadette, « c'est ma chaussure, je l'ai perdue au bal hier ». 

    Elles tendirent toutes deux leur pied vers le serviteur, qui, un peu agacé, leur dit : « Du calme mesdemoiselles, chacune à son tour ! » Il essaya la chaussure à l'une, puis à l'autre, mais leurs pieds étaient si grands et si larges qu'elles pouvaient difficilement faire entrer leurs orteils ! 
    «Je suis désolé » dit le serviteur qui voulait partir de cette maison au plus vite ! Les filles le retenaient par le bras ; 
    - « Mais je vous assure que c'est ma chaussure ! disait l'aînée ». 
    - « Non ! C'est la mienne ! » disait la cadette, « je ne sais pas pourquoi elle ne me va pas aujourd'hui, mes pieds ont dû gonfler pendant la nuit ! 
    - « Laissez-moi partir voyons ! » disait le serviteur, « cette chaussure est beaucoup trop petite pour vous ! » 

    Il finit par se dégager et allait partir lorsque l'on entendit une petite voix venir du fond de la pièce : « Moi aussi j'aimerais bien essayer la chaussure ». Le serviteur se retourna, et vit Cendrillon, qu'il trouva fort jolie malgré ses habits de servante. 

    - « Mais, Cendrillon ! Tu es ridicule ! Tu n'es qu'une servante, tu ne peux pas essayer cette chaussure ! » dit sa belle-mère. 
    - « Je suis la fille de mon père, le maître de cette maison » dit Cendrillon, « et le roi a dit que toutes les jeunes filles devaient essayer la chaussure. »
    - « Elle a raison ! » dit le serviteur, qui la trouvait de plus en plus ravissante, « votre pied je vous prie »

    Cendrillon retira son sabot, et tendit vers le serviteur un ravissant, minuscule petit pied blanc, qui entra sans aucune difficulté dans la petite chaussure.
    - « mais, mais.... C'est impossible ! » dit sa belle mère.
    - « non, ma mère c'est la vérité » dit Cendrillon, « et regardez, j'ai l'autre » dit-elle en sortant la seconde petite chaussure de verre de son tablier. 

    Alors qu'elle mettait la seconde chaussure, ses vêtements et sa coiffure se transformèrent magiquement, et Cendrillon retrouva sa splendeur de la veille.

    En reconnaissant la belle princesse, sa belle mère et ses sœurs se jetèrent à ses pieds. « Pardon, pardon » dirent-elle. Et Cendrillon, qui était aussi bonne que belle, leur dit qu'elle leur pardonnait de bon cœur, et que tout ce qu'elle désirait était qu'elles soient bonnes amies.
    Le serviteur l'emmena au château, et le prince qui était si content de retrouver sa princesse lui demanda de l'épouser le jour même. Cendrillon aimait le prince aussi, mais elle préféra attendre un peu plus, pour être sure qu'il serait un bon mari.

    Elle invita sa belle-mère et ses sœurs à vivre au château avec eux, et les présenta à des amis du prince qui voulaient aussi se marier. Finalement, Cendrillon et ses sœurs se marièrent l'été suivant et toute la région fit la fête pendant un mois. Et ils vécurent tous heureux et eurent beaucoup d'enfants.

Pasokon
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jshayden
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poppinyouall
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  • Mon Collège ( recorded by thomaup ), standard French

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  • Mon Collège ( recorded by MsChastagnier ), French

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    Mon collège s'appelle Helsby High School. Mon collège a été construit il y a cent ans. C'est vraiment grand et animé, il y a beaucoup d'éléves.
    D'habitude, le collège commence à neuf heures moins le quart, je n'aime pas ça car c'est trop tôt. Il finit à trois heures cinq. Malheureusment, jeudi dernier j'ai fini à quatre heures cinq car je suis allée à une retenue. Il y a non seulement ça, mais aussi mardi prochain je vais finir tard encore, puisque je vais jouer au tennis. Nous avons cinq cours quotidiennement et les cours durent une heure, parfois ça semble être trop long!
    La matière qui m'ennuie le plus c'est les sciences. On penserait que ça serait passionant, surtout les expériences mais c'est simplement vachement ennuyeux. Je lasserai tomber les sciences dès que possible. Maintenant les langues font parties de mes matières préferées, parce que selon moi c'est utile pour l'avenir.
    Je ne fais pas partie d'un club à mon collège car il n'y a rien d'intéressant, cependant s'il y avait un club de théâtre, moi j'irais, pourtant je vais déjà à un club de théâtre le mercredi.
    Mon uniforme est vert. Je suis d'accord avec ça car on sait toujours quoi porter. Je ne changerais pas notre uniforme parce que si le collège ne nous fait pas porter un uniforme, les gens riches porteraient les choses trop chères.
    Naturellement on n'a pas le droit de fumer, parce que c'est très malsain. En plus, dans mon collège on doit respecter les autres. Quelquefois, on semble être malheuresment traité comme des enfants, parce que l'on a aucune liberté, par exemple les filles ne peuvent pas porter le pantalon, et les bijoux et le maquillage sont interdits.
    Si j'ai de bonnes notes, je vais continuer mes études, car je voudrais aller à l'université.
    Dans mon école primaire, je m'amusais mieux.
    L'argent aprés une bonne note, ça fait un peu la carrote au bout du fil, mais si ça peut motiver certains, alors tant mieux! moi, je pense que j'ai besoin d'un cadeau pour travailler, c'est une bonne récompense et on mérite ça si on a travaillé dur.

Pasokon
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