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Une éclipse totale du Soleil plonge les Australiens dans la pénombre

Des milliers de personnes avaient les yeux tournés vers le ciel, mercredi 14 novembre, pour ne pas perdre une miette d'une éclipse totale du Soleil, caché par la Lune. Le phénomène, très rare, était observable du nord tropical de l'Australie et a duré deux longues minutes, pendant lesquelles la nature s'est tue. Des nuages ont menacé de priver la foule du spectacle, mais ils se sont écartés et une immense clameur a salué l'astre solaire disparaissant peu à peu derrière la Lune.

Jennifer, Aliénor, Gabriel... Disposez les tapis en étoile. On s'assoit, les jambes croisées en lotus. On inspire par les narines, on expire par les narines... calmement... On a juste à sentir l'air qui entre et sort... Le dos bien droit, on va tendre les mains très haut vers le ciel, comme pour toucher le sommet d'une montagne. Maintenant, relâchez tout et bâillez. On va se lever et se pencher en secouant les bras" : Ulrika Dezé, diplômée en sciences de l'éducation et fondatrice de Yogamini, une méthode ludique et pédagogique de yoga, commence son cours avec les élèves de CE2 à l'école primaire des Francs-Bourgeois (école privée sous contrat), à Paris.
Le projet a démarré il y a trois ans. "La directrice constatait que beaucoup d'enfants étaient stressés, avec des maux de ventre et de tête. Ils avaient du mal à se concentrer et cela avait un impact en classe. J'ai proposé un atelier yoga pendant six mois, et les résultats ont été si positifs, les enseignants tellement satisfaits, que les cours se sont institués. Si les enfants sont mieux dans leur peau et dans leur tête, ils sont mieux à l'école", dit Ulrika Dezé avec sourire chaleureux.

Le yoga pour enfants est bien différent de celui destiné aux adultes. Ainsi, les cours alternent des histoires où l'on mime des postures, le cygne, la chandelle ou l'arbre, des épisodes relaxants basés sur la respiration pour calmer les émotions, des dessins de mandalas favorisant la concentration et des jeux qui améliorent le rapport à l'autre. En quelques minutes, ces écoliers agités sont détendus, concentrés et souriants. Même les plus indisciplinés, comme Paul : "J'adore le yoga parce que c'est pas du travail et ça me détend." Aliénor fait même des exercices chez elle le matin. "Je travaille mieux en classe, je retiens mieux", confie-t-elle. Tous les élèves de CE2 sont unanimes pour dire que cette pratique leur fait du bien.

Caroline Allard, leur enseignante, le confirme. "Quand ils sortent du cours de yoga hebdomadaire, ils sont concentrés, posés, et je peux aller plus en profondeur dans l'apprentissage. Paul arrive maintenant à rester calme. Au fil des séances, j'ai vu son attitude changer et ses notes grimper ! L'école privilégie les résultats et l'intellect. Rarement l'être. Ce sont eux qui me demandent : "Maîtresse, et si on respirait cinq minutes, si on faisait l'arbre ?""

Pour Ulrika Dezé, il importe d'associer les enseignants à cette expérience et de les former au yoga. "Ils suivent le cours, et cela leur donne des outils en classe. S'ils sont moins stressés et reviennent au calme intérieur, eux aussi sauront mieux enseigner et gérer leur classe", remarque-t-elle. Former les enseignants est un axe essentiel du yoga à l'école, défendu par Micheline Flak, pionnière en France avec un projet pilote au collège Condorcet en 1973, à Paris, et fondatrice du centre Recherche sur le yoga dans l'éducation (RYE) en 1978. Elle a formé plus de deux mille enseignants qui ont intégré la relaxation dans leur temps de cours - obtenant des résultats étonnants chez les élèves en difficulté.

Le yoga s'implante en milieu scolaire et concerne déjà 70 000 élèves. Dominique Daumail, professeur d'éducation physique et sportive dans un lycée de Pontoise, témoigne : "J'ai des ados de 15 à 18 ans dont beaucoup sont indisciplinés et anxieux. Je les fais respirer en traçant un trait montant puis descendant, en insistant sur l'expiration pour évacuer les tensions et apaiser le stress physique, émotionnel et mental. Ils se calment en moins de cinq minutes, puis observent intérieurement leur état de calme, de concentration et d'écoute. Ils sont alors prêts à apprendre."

Rendre les élèves autonomes, tel est son objectif. "Après chaque séance, je leur demande d'évaluer ce qu'ils ont ressenti et de pratiquer par eux-mêmes l'exercice qui leur a fait le plus de bien. Ils acquièrent ainsi un aperçu global des techniques et peuvent s'approprier l'exercice qui leur va le mieux pour réviser un examen ou contrôler leur trac le jour J. Grâce à cette pédagogie, ils s'aperçoivent qu'ils ont un mental et des émotions, et qu'il est possible d'apprendre à les contrôler."

Laurence Scheibling, professeur des écoles et de yoga, intervient, elle, dans le cadre du dispositif ULIS (unité localisée d'inclusion scolaire), auprès d'élèves ayant un handicap léger, sensoriel, moteur ou mental. "Avec les autistes, je stimule l'attention portée à l'autre par des exercices d'écoute et de relaxation. Chez ceux présentant des troubles moteurs, on travaille sur la posture et le ressenti corporel."

Cette pratique à l'école dépend pour l'instant d'initiatives locales et spontanées d'enseignants en matière générale, qui ont été formés aux techniques de yoga ou de professeurs de yoga intervenant en milieu scolaire.

Au ministère de l'éducation nationale, un responsable qui a suivi ce dossier l'admet : "C'est une initiative bénéfique, et nous étudions la proposition de Micheline Flak d'intégrer le yoga dans le cadre de l'expérimentation lancée en 2010 [matières fondamentales le matin et ateliers (culture, arts, sport) l'après-midi]. Il y a déjà de l'expression corporelle et de la relaxation. Mais le yoga pourrait se généraliser s'il y a des organismes agréés de qualité ou reconnus car proposant une méthode pédagogique et une formation comme celle du RYE." Mais il reste prudent : "L'activité doit être bien encadrée. L'école reste vigilante sur la qualité des intervenants et sur ce que l'on propose aux enfants."

Le but d'un essai expositoire est représenter objectivement les avis d'autres individus ou de décrire un certain événement ou situation. Plus largement, l'exposition est une interprétation ou une explication écrite systématique d'une matière spécifique. L'auteur d'un essai expositoire devrait démontrer l'analyse systématique de la matière étudiée et expliquer les points essentiels en utilisant des exemples d'illustration et dessinant des analogies appropriées. Le processus de l'exposition devrait inclure une analyse détaillée des matériaux disponibles, y compris l'identification des idées primaires, des thèses et des faits. L'exposition inclut également l'interprétation augmentée du matériel étudié, y compris la considération d'autres matériaux dans le champ choisi. L'auteur devrait énoncer l'information choisie clairement et professionnellement, tenant compte de la spécificité de la salle adressée. L'information devrait être suffisante et irréfragable.

Un essai expositoire exige une analyse fondamentale d'information disponible et la formulation du rapport clair et spécifique de thèse. Un paragraphe d'introduction devrait être suivi des paragraphes de support qui renforce et expose le rapport de thèse logiquement et distinctement. Un paragraphe de conclusion ne devrait redire le rapport de thèse d'une manière originale et contenir aucun nouveau matériel effectif. L'auteur devrait employer des phrases transitoires entre tous les paragraphes pour faire le solide d'essai.

Bénévolat : Dix idées pour s'engager

De la petite association de quartier aux grandes ONG, il y en a pour tous les goûts et toutes les causes.
Envie de s'engager ou de faire un don ? Voici notre guide pour choisir l'association qui vous convient.
Si vous souhaitez venir en aide aux plus nécessiteux, vous pouvez vous engager aux côtés de l'Armée du Salut pour aider au restaurant et à l'épicerie sociale ou animer divers ateliers (lecture, musique, couture, jardinage...). Une autre association très connue pour agir contre la misère et la pauvreté, La Croix Rouge, vous attend avec différentes formes de bénévolat : interventions d'urgence, animations d'action sociale... Notre liste ne saurait être exhaustive, mais nous citerons également la Fondation Abbé Pierre (où les bénévoles peuvent assurer la permanence téléphonique, tenir une Boutique Solidarité, guider des personnes mal logées...) ; Les Restos du Cœur, le Secours Catholique, le Secours Populaire Français ou la Fondation de France.

Aider les enfants en difficulté
Au Centre français de protection de l'enfance, vous pourrez parrainer un enfant en difficulté, animer des activités ou, simplement, aider les équipes déjà en place.
La très connue Unicef, dont le rôle est d'assurer santé, éducation, égalité et protection à chaque enfant vous propose de l'aider en vendant des produits ou en organisant des événements au profit des enfants. Citons encore Un enfant par la main, Partage, Jeunesse au plein air (pour le droit des enfants aux vacances et aux loisirs), Intervida ou encore A chacun son Everest qui vient en aide aux enfants atteints de cancer ou de leucémie, et Perce-Neige, qui mène des actions en faveur des enfants handicapés mentaux et polyhandicapés. L'association SOS Villages d'enfants agit en France et à l'étranger pour permettre aux frères et sœurs privés de leurs parents de rester ensemble.

Soutenir la recherche médicale
Pour encourager les progrès de la médecine, vous pouvez faire un don aux associations qui financent la recherche comme La Fondation pour la recherche médicale; L'institut Pasteur; la Ligue contre le cancer; l'ARC; l'INCA, Urgences cancer; la Fédération pour la recherche sur le cerveau.
De même, chaque maladie a son association : Aides, reconnue d'utilité publique dans la lutte contre le sida ; France Alzheimer, l'union nationale des associations Alzheimer ou l'Association française des diabétiques. Vous pouvez aussi contribuer à faire profiter tout le monde (au sens propre !) de soins médicaux grâce à Médecins sans frontières et Médecins du monde. Sans oublier l'Association française contre la myopathie, à l'origine du Téléthon.
Soutenir l'action sociale dans le monde
Vous vous sentez concerné par le sort des millions de gens sur la planète qui souffrent de conditions de vies difficiles (guerre, pauvreté, maladies...) ? Vous pouvez vous engager auprès d'une association d'aide internationale comme Planète urgence, qui lutte contre les inégalités entre le Nord et le Sud; La Croix Rouge; le Secours Catholique; Care, dont le but est de contribuer à la diminution de l'extrême pauvreté; le Comité français pour la Solidarité internationale, regroupant 24 organisations actives en solidarité internationale; et puis, bien sûr, Médecins sans frontières et Médecins du Monde.

Le respect des droits de l'Homme
Parce que les droits de l'Homme garantissent des libertés fondamentales, il est vital de veiller à leur respect. Pour cela, vous pouvez vous engager auprès d'associations telles qu'Amnesty International, Human Rights Watch ou la Ligue des droits de l'Homme qui s'engagent à défendre les victimes des violations des droits humains.
La liberté d'expression étant aussi un droit fondamental, vous pouvez contribuer à la liberté de la presse dans le monde en aidant Reporters sans frontières.

Agir contre la faim
Que ce soit en France ou à l'étranger, nombreux sont ceux qui ne mangent pas à leur faim. Vous pouvez contribuer à endiguer ce fléau grâce à Action contre la faim, mais aussi grâce au CCFD (Comité catholique contre la faim et pour le développement).
Au niveau national, vous pouvez aider à distribuer des repas grâce aux Restos du cœur ou à l'Armée du salut.

Venir en aide aux handicapés
Vous pouvez également trouver à exprimer votre générosité auprès des associations d'aide aux handicapés comme Handicap international, grâce à laquelle vous pouvez prêter assistance aux personnes souffrant d'un handicap et les accompagner dans leur prise d'autonomie.
La France compte aussi, entre autres, l'association Valentin Haüy qui aide les aveugles et les malvoyants, sans oublier l'Association des paralysés de France.
Et l'association Perce-Neige, fondée par Lino Ventura, agit depuis 1966 en faveur des personnes handicapées mentales, à la fois pour leur offrir des structures de soutien et d'accueil, et pour favoriser leur intégration à la société.
Protéger les animaux
Si votre sensibilité vous pousse d'avantage à protéger nos trente millions d'amis, vous pouvez vous engager aux côtés de la célèbre SPA, ou, justement, la Fondation 30 millions d'amis. Votre intervention peut aller d'un don à l'adoption d'un animal, en passant par l'action dans les refuges ! Si vous préférez protéger les espèces en voie de disparition, vous pouvez aussi vous engager auprès du WWF (World Wildlife Fund for Nature, Fonds mondial pour la vie sauvage et la nature) ou l'IFAW (Fonds international pour la sauvegarde des animaux).

Accompagner les personnes âgées
Fragiles et souvent seules, les personnes âgées n'ont parfois besoin que de compagnie. Si vous avez la possibilité de mettre à leur disposition un peu de votre temps libre, voici les associations auxquelles vous pouvez vous adresser : Les petits frères des pauvres ou l'ADMR (association du service à domicile).
Pour trouver une association proche de chez vous, le site espacebenevolat.org répertorie aussi les associations de quartier d'accompagnement de personnes âgées. Vous avez aussi la possibilité de faire un don à la FIAPA, la Fédération internationale des associations de personnes âgées.

Agir pour l'environnement
Vos centres d'intérêts sont plutôt la nature, l'environnement ? Vous vous sentez l'âme d'un écocitoyen ? Vous pouvez choisir de soutenir la première association mondiale de protection de la nature, le WWF, la Fondation Nicolas Hulot, qui a pour but de développer l'éducation à l'environnement, France Nature Environnement, la Fédération française des associations de protection de la nature et de l'environnement créée en 1968 et reconnue d'utilité publique en 1976, ou encore la célèbre Greenpeace pour la protection de l'environnement et la promotion de la paix.

Mon lit est bleu, jaune et rouge ; comme le costume de superman ! Et comme mes chaussons :) Le drap de dessous est bleu foncé, et la taie d'oreiller jaune. Ma housse de couette est rouge vif, avec de petites étoiles jaunes. Je préfère de loin [= largement] mon lit à celui de ma soeur. Elle a un drap de dessous blanc et... un drap blanc lui aussi ; c'est beaucoup trop banal pour moi. En plus, sa couverture est bleue ; comme la taie de son traversin. C'est un bleu délavé, et on dirait vraiment un lit de grand-mère. En plus, je préfère les couettes parce qu'elles sont bien chaudes et que je peux faire mon lit en trente secondes tous les matins. Tous les soirs, je range ma robe de chambre dans mon armoire avant de me mettre au lit. Et tous les matins - après ma douche - je plie mon pyjama, puis je le glisse sous mon oreiller. Ma soeur, elle, range sa chemise de nuit dans ses tiroirs ; ça doit être un truc de fille. En plus, elle l'appelle sa nuisette ; ne lui dites pas, mais elle se prend pour une grande alors que c'est encore un bébé. Sur ma table de nuit, il y a ma lampe de chevet Indiana Jones, mon réveil et mon livre de chevet (en ce moment, je lis le tour du monde en 80 jours de Jules Verne). Je regrette mon lit superposé ; c'était marrant de dormir en hauteur. Mais maintenant j'ai un vrai sommier avec des gross ressorts, et je peux sauter jusqu'au plafond ! Mais, chut, surtout ne le dites pas à mes parents.

Tu es encore là ? Vas prendre ton bain tout de suite ! J'ai fait couler l'eau il y a une heure. Tant pis pour toi si elle est froide maintenant. Non, tu ne prends pas de douche ; la baignoire est pleine, elle t'attend. Je viens de finir la bouteille de shampoing. Pense à prendre la nouvelle dans le placard, derrière le gel douche. Et n'oublie pas de bien te savonner. Un gant de toilette et un savon, ça fait de la mousse quand on s'en sert correctement. Non, tu es trop jeune pour utiliser la mousse à raser et le rasoir de ton père. D'accord, si tu veux tu peux prendre la grande serviette de toilette. Tout ce que tu veux, du moment que tu te sèches bien sur le tapis de bain pour ne pas salir tout le carrelage, et que tu te brosse bien les dents pendant trois minutes. Oui, tu m'as bien entendu. Tu prends ta brosse à dent, tu prends ton dentifrice à la menthe, et tu frottes pendant trois minutes ; de haut en bas, comme t'a expliqué le dentiste.

Tu es encore affalé dans le canapé à regarder la télé ? Tu n'as rien d'autre à faire de tes journées ? Et si tu mettais la table plutôt. J'espère que tu te souviens encore où sont rangés les couverts. N'oublie pas les couverts de service : une fourchette et une cuillère, comme d'habitude. Non, tu ne peux pas prendre le fauteuil pour manger. Je te l'ai dit mille fois ; dans ma maison, on mange sur des chaises, disposées autour d'une table. Tant que tu seras sous mon toit, tu mangeras en famille, avec nous, et tu suivras mes règles. Oui, oui ; tu m'as bien entendue. Tu suivras mes règles. D'ailleurs tu vas tout de suite me retirer tes pieds de la table basse. Tu sais très bien qu'elle vient de Chine, comme la commode et le vaisselier, et que j'y tiens beaucoup. Oui, la nappe aussi j'y tiens beaucoup. C'est un cadeau de mariage. Je l'ai eue en même temps que l'argenterie qu'on utilise tous les dimanches. Non, le meuble TV ne vient pas de Chine ; c'est un meuble IKEA ; un produit typiquement suédois. Quoi ? Il est abîmé ? Oui, c'est vrai ; mais c’est grâce à cette grosse rayure que tu vois là qu’on l'a eu à moitié prix.

Le ballet s'est développé d'abord en Italie et puis en France à partir de spectacles luxueux qui combinaient la musique, le drame, la poésie, les chansons, les costumes et la danse. Certains interprètes du ballet étaient des membres de la noblesse de cour. Pendant le règne de Louis XIV, lui-même danseur, la danse est devenue plus codifiée. Des danseurs professionnels ont commencé à prendre la place des amateurs de la cour, et des maîtres de ballet ont été autorisés par le gouvernement français. La première académie de ballet a été l'Académie Royale de Danse, qui a ouvert à Paris en 1661. Peu de temps après, la première troupe de ballet institutionnalisée, associée à l'académie, a été formée ; cette troupe était initialement exclusivement masculine, mais elle a ouvert ses portes aux femmes en 1681.

Le loisir, c'est quand une personne peut choisir quoi faire. Pendant son temps de loisir, une personne n'a pas l'obligation d'aller à l'école ou de travailler. Pendant leur temps de loisir, les personnes peuvent faire des activités amusantes, telles que des hobbies.

Les vacances sont un temps dédié spécifiquement aux loisirs. Pendant leurs vacances, certaines personnes voyagent dans une région ou un pays différent, afin de pouvoir faire des choses qu'elles ne peuvent pas faire près de chez elles. D'autres personnes préfèrent passer leurs vacances chez elles, dans leur propre communauté.

Dans les pays riches et industrialisés, comme les États-Unis et le Canada, aussi bien que la plupart des pays européens, les employés sont autorisés à rester chez eux pendant le week-end (en général samedi et dimanche) pour l'utiliser comme temps de loisir. Dans les pays en développement, les gens ont en général moins de temps de loisir, car ils ont besoin de travailler plus d'heures par semaines et de jours par an.

Son expérience de l'apprentissage du français, en France, loin de chez lui au Canada, a permis à Steve K. de mieux comprendre et apprécier son pays et sa culture d'origine. Selon lui, l'amour de vos propres origines est amplifié quand vous ‎découvrez‎ une autre langue et une autre culture. Il suggère que le succès des polyglottes est dû en grande partie leur confiance en eux. Par ailleurs, votre capacité à trouver de nouvelles façons de dire les choses augmente avec chaque nouvelle langue que vous apprenez. Pour réussir à acquérir une langue, c'est important que les textes, les émissions de télévision, les conversations, etc. soient sur des sujets intéressants pour l'apprenant.