French Recordings

Les tâches domestiques.
Il fait le ménage: il fait la vaisselle, les vitres, les lits, la lessive, le repassage, il passe l'aspirateur.
Il repasse une chemise avec un fer à repasser.
Elle range sa chambre.
Il fait du bricolage: il change une ampoule, il fixe un tableau au mur, il monte une étagère...
Il fait les courses (il achète de quoi manger).
Elle fait la cuisine = elle prépare le repas.
Elle met la table = elle débarrasse la table.
Quelques produits ménagers.
Un escabeau
un chiffon
un torchon
de la lessive
un balai
un éponge
des produits de nettoyage
un seau
une serpillière
un aspirateur

Je suis allée à la librairie toute seule.
Je lisais quelques livres français et j'étais vraiment concentrée sur ces livres.
Soudainement, une fille m'a demandé de dessiner une maison, une personne et un arbre.
Elle avait l'air d'être une étudiante en psychologie. Je savais qu'elle finirait par passer beaucoup de temps à parler de mes problèmes s'il y a un problème dans mon dessin comme elle étudiait la psychologie, donc je voulais lui montrer que j'étais une personne qui n'avait pas de problèmes pourque je puisse finir de discuter avec elle au plus vite.
J'ai déjà eu ce genre de test avant mais je ne pouvais pas me rappeler ce qu'il fallait dessiner pour être "une personne en bonne santé".
En tout cas, j'ai dessiné tout ce qu'elle m'a demandée.
Elle m'a dit qu'il y avait des choses graves dans mon dessin. C'était problématique.
J'ai mis la personne dans la maison dans mon dessin mais d'autres personnes ont mis la personne à l'extérieur de la maison.
Selon elle, j'étais la seule personne à mettre le personnage dans la masion.
Elle a demandé mon numéro de téléphone et l'adresse afin de discuter à ce sujet mais je n'aimais pas cette idée...
Après lui avoir dit " bonne journée ", je suis sortie de la librairie.
Quand j'en ai parlé à ma mère, elle m'a dit que je devais faire attention parce qu'il y a certaines personnes qui essaient de me faire croire une religion étrange.

la banderole

Vous êtes occupé(e)?
Stressé(e) par la vie quotidienne?
Vous n'avez pas suffisamment de temps?
Vous avez des difficultés à vous déplacer?
Nous sommes à votre disposition pour toutes les tâches domestiques: jardinage, ménage (entretien de la maison, repassage...), courses, petit travaux dans la maison (électricité, plomberie...)
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Au lieu de poulet, un plat de fèves fit son entrée, plat énorme, dans lequel quelques os de mouton, qu'on eût pu, au premier abord, croire accompagnés de viande, faisaient semblant de se montrer.
Mais les clercs ne furent pas dupes de cette supercherie, et les mines lugubres devinrent des visages résignés.
Mme Coquenard distribua ce mets aux jeunes gens avec la modération d'une bonne ménagère.
Le tour du vin était venu. Maître Coquenard versa d'une bouteille de grès fort exiguë le tiers d'un verre à chacun des jeunes gens, s'en versa à lui-même dans des proportions à peu près égales, et la bouteille passa aussitôt du côté de Porthos et de Mme Coquenard.
Les jeunes gens remplissaient d'eau ce tiers de vin, puis, lorsqu'ils avaient bu la moitié du verre, ils le remplissaient encore, et ils faisaient toujours ainsi; ce qui les amenait à la fin du repas à avaler une boisson qui de la couleur du rubis était passée à celle de la topaze brûlée.
Porthos mangea timidement son aile de poule, et frémit lorsqu'il sentit sous la table le genou de la procureuse qui venait trouver le sien. Il but aussi un demi-verre de ce vin fort ménagé, et qu'il reconnut pour cet horrible cru de Montreuil, la terreur des palais exercés.
Maître Coquenard le regarda engloutir ce vin pur et soupira.
«Mangerez-vous bien de ces fèves, mon cousin Porthos?» dit Mme Coquenard de ce ton qui veut dire: croyez-moi, n'en mangez pas.
«Du diable si j'en goûte!» murmura tout bas Porthos…
Puis tout haut:
«Merci, ma cousine, dit-il, je n'ai plus faim.»

Il y avait un vieux couple.
Une fée a été impressionnée par leur amour qui dure depuis une longue période.
La fée leur a dit qu'elle leur pourrait exaucer un vœu.
La grand-mère lui a dit " Ce serait vraiment bien si nous pouvions rester ensemble jusqu'à notre mort. "
Le grand-père lui a dit " Ce serait vraiment bien si je pouvais habiter avec une belle femme plus jeune de 30 ans. "
Enfin.......
Le grand-père est devenu plus vieux de 30 ans que la grand-mère...

J'avais une amie quand j'étais au lycée.
Je n'avais pas de bonne conversation avec les gens là-bas, mais cette amie était toujours à côté de moi. Je n'avais pas un bon caractère et je n'étais pas harmonieuse avec les autres personnes. Il y avait quelques personnes dans la classe qui parfois disaient du mal de moi.
J'avais de la peine quand j'entendais des choses comme ça. Comparée à mon caractère, mon amie avait un bon caractère et elle était une personne digne de foi. Je l'ai toujours envié et je me sentais redevant à elle puisqu'elle était tout le temps à côté de moi.
Quand j'étais avec elle, je me sentais à l'aise même s'il avait des gens qui disaient du mal de moi.

Après le potage la servante apporta une poule bouillie; magnificence qui fit dilater les paupières des convives, de telle façon qu'elles semblaient prêtes à se fendre.
«On voit que vous aimez votre famille, madame Coquenard, dit le procureur avec un sourire presque tragique; voilà certes une galanterie que vous faites à votre cousin.»
La pauvre poule était maigre et revêtue d'une de ces grosses peaux hérissées que les os ne percent jamais malgré leurs efforts; il fallait qu'on l'eût cherchée bien longtemps avant de la trouver sur le perchoir où elle s'était retirée pour mourir de vieillesse.
«Diable! pensa Porthos, voilà qui est fort triste; je respecte la vieillesse, mais j'en fais peu de cas bouillie ou rôtie.»

— Vous n'avez donc point d'amis à Paris, monsieur Porthos? dit la procureuse.
— J'ai cru en avoir, dit Porthos en prenant son air mélancolique, mais j'ai bien vu que je me trompais.
— Vous en avez, monsieur Porthos, vous en avez, reprit la procureuse dans un transport qui la surprit elle-même; revenez demain à la maison. Vous êtes le fils de ma tante, mon cousin par conséquent; vous venez de Noyon en Picardie, vous avez plusieurs procès à Paris, et pas de procureur. Retiendrez-vous bien tout cela?
— Parfaitement, madame.
— Venez à l'heure du dîner.
— Fort bien.
— Et tenez ferme devant mon mari, qui est retors, malgré ses soixante-seize ans.
— Soixante-seize ans! peste! le bel âge! reprit Porthos.
— Le grand âge, vous voulez dire, monsieur Porthos. Aussi le pauvre cher homme peut me laisser veuve d'un moment à l'autre, continua la procureuse en jetant un regard significatif à Porthos. Heureusement que, par contrat de mariage, nous nous sommes tout passé au dernier vivant.
— Tout? dit Porthos.
— Tout.
— Vous êtes femme de précaution, je le vois, ma chère madame Coquenard, dit Porthos en serrant tendrement la main de la procureuse.
— Nous sommes donc réconciliés, cher monsieur Porthos? dit-elle en minaudant.
— Pour la vie, répliqua Porthos sur le même air.
— Au revoir donc, mon traître.
— Au revoir, mon oublieuse.
— À demain, mon ange!
— À demain, flamme de ma vie!

Hier soir, Félix proposé à Marie de dîner au restaurant. Elle a accepté avec joie, car elle s'intéresse beaucoup à Félix. C'est un grand brun un peu timide. Avec ses yeux noisette et son beau sourire, il a beaucoup de charme. Marie est vive et communicative. Elle a cheveux châtains et bouclés, et de grand yeux bleus.
Marie et Félix ont passé la soirée à bavarder. Ils on discuté de politique, de littérature, de cinéma... Marie, pour la première fois depuis longtemps, a raconté son grand voyage en Asie à Félix. Félix a écouté avec beaucoup d'attention, car il adore voyager et il connaît bien l'Asie. Il a posé beaucoup de questions à Marie. Finalement, les deux jeunes gens ont oublié l'heure!
Le serveur a commencé à fermer le restaurant à minuit... mais les deux ont continué à parler dans la rue. Félix à accompagné Marie jusqu'a l'arrêt de bus. À la maison, Marie a immédiatement envoyé un mail à sa meilleure copine...